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Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s).

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci!

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni?

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants .........

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami..........

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ?

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie


Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A +

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix


Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^)

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ----------

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non?

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. !

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !!

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura...

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici...

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ".

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas...

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs !

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!!

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore……

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..)

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..) Ma passion blues les voyages
Je suis grande, 175 cm, je suis chatain clair, les yeux noisettes, je recherche un homme grand, brun et mat de peau qui aime les voyages dans les iles, j'étais à la Réunion c'était top, génial, je voudrais aussi partir en turquie, tunisie, enfin voyager mais accompagner. J'aime la RNB, la groove, le rap, j'adore danser, mais dans des bars, ou les ambiances sont moins stressante. et vous????

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..) Ma passion blues les voyages
Je suis grande, 175 cm, je suis chatain clair, les yeux noisettes, je recherche un homme grand, brun et mat de peau qui aime les voyages dans les iles, j'étais à la Réunion c'était top, génial, je voudrais aussi partir en turquie, tunisie, enfin voyager mais accompagner. J'aime la RNB, la groove, le rap, j'adore danser, mais dans des bars, ou les ambiances sont moins stressante. et vous???? Lisez moi ! souriretriste si je savais qui je suis....
Un chapitre de ma vie, je ne sais qui je suis ce que je veux, mais si vous savez me lire je vais essayer d'écrire des mots pour l'expliquer. Divorce, enfant et je ne me retrouve plus, je ne sais plus comment faire pour plaire à un homme, je ne sais plus comment aimer, je ne sais plus ou le positionner dans mon coeur. En fait, je ne veux plus me poser de questions, je ne veux plus etre soumise, je ne veux plus devoir donner des comptes, expliquez moi si tout ceci est normal, dites le moi avec des mots, merci

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..) Ma passion blues les voyages
Je suis grande, 175 cm, je suis chatain clair, les yeux noisettes, je recherche un homme grand, brun et mat de peau qui aime les voyages dans les iles, j'étais à la Réunion c'était top, génial, je voudrais aussi partir en turquie, tunisie, enfin voyager mais accompagner. J'aime la RNB, la groove, le rap, j'adore danser, mais dans des bars, ou les ambiances sont moins stressante. et vous???? Lisez moi ! souriretriste si je savais qui je suis....
Un chapitre de ma vie, je ne sais qui je suis ce que je veux, mais si vous savez me lire je vais essayer d'écrire des mots pour l'expliquer. Divorce, enfant et je ne me retrouve plus, je ne sais plus comment faire pour plaire à un homme, je ne sais plus comment aimer, je ne sais plus ou le positionner dans mon coeur. En fait, je ne veux plus me poser de questions, je ne veux plus etre soumise, je ne veux plus devoir donner des comptes, expliquez moi si tout ceci est normal, dites le moi avec des mots, merci Amour éternité extrait de vie
Ce jour, je me suis dit qu'il fallait que je dise à quelqu'un ce que je recherche. Je viens de trouver ce carnet que vous pourrez lire, c'est simple j'ai envie d'amour, amour avec un grand A. Un amour qui soit complice, simple et sans questions, j'ai vraiment envie d'aimer, simplement aimer. Les hommes ne savent plus aimer, ils ne savent plus faire la cour, celle qui nous embellit, qui nous rend unique, celle que nous attendons, des mots simples et des gestes simples.J'ai envie d'être la femme d'un homme, et avec lui, je partirai en week end, on s'éclatera sur une plage et on fera l'amour. Je serais la plus belle à ces yeux, nos regards en diront long, on se comprendra, il m'apprendra tout ce que j'ignore et je l'écouterai, amoureuse, je me délecterai de ces paroles, je l'aimerais, et vous qu'en pensez vous?

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..) Ma passion blues les voyages
Je suis grande, 175 cm, je suis chatain clair, les yeux noisettes, je recherche un homme grand, brun et mat de peau qui aime les voyages dans les iles, j'étais à la Réunion c'était top, génial, je voudrais aussi partir en turquie, tunisie, enfin voyager mais accompagner. J'aime la RNB, la groove, le rap, j'adore danser, mais dans des bars, ou les ambiances sont moins stressante. et vous???? Lisez moi ! souriretriste si je savais qui je suis....
Un chapitre de ma vie, je ne sais qui je suis ce que je veux, mais si vous savez me lire je vais essayer d'écrire des mots pour l'expliquer. Divorce, enfant et je ne me retrouve plus, je ne sais plus comment faire pour plaire à un homme, je ne sais plus comment aimer, je ne sais plus ou le positionner dans mon coeur. En fait, je ne veux plus me poser de questions, je ne veux plus etre soumise, je ne veux plus devoir donner des comptes, expliquez moi si tout ceci est normal, dites le moi avec des mots, merci Amour éternité extrait de vie
Ce jour, je me suis dit qu'il fallait que je dise à quelqu'un ce que je recherche. Je viens de trouver ce carnet que vous pourrez lire, c'est simple j'ai envie d'amour, amour avec un grand A. Un amour qui soit complice, simple et sans questions, j'ai vraiment envie d'aimer, simplement aimer. Les hommes ne savent plus aimer, ils ne savent plus faire la cour, celle qui nous embellit, qui nous rend unique, celle que nous attendons, des mots simples et des gestes simples.J'ai envie d'être la femme d'un homme, et avec lui, je partirai en week end, on s'éclatera sur une plage et on fera l'amour. Je serais la plus belle à ces yeux, nos regards en diront long, on se comprendra, il m'apprendra tout ce que j'ignore et je l'écouterai, amoureuse, je me délecterai de ces paroles, je l'aimerais, et vous qu'en pensez vous? Humour Menfin Des médecins
Mon père m'a toujours dit que parmi les cours que suivent les pharmaciens, un des plus importants est celui de déchiffrage graphologique. C'est ce cours (appelé à disparaître avec le généralisation de ordonnances rédigées par informatique) qui leur permettent de déchiffrer l'écriture des médecins. Je me suis toujours demandé ce que cachait cette manière d'écrire si difficilement déchiffrable. Est-ce pour garder une confidentialité entre médecin et pharmacien? Sorti du contexte médicale, cette manière d'écrire doit apporter des avantages et des inconvénients. Par exemple, lorsque un médecin écrit une lettre d'amour, cela permet-il à la personne qui la déchiffre d'y lire ce qu'elle espère y lire? Cela expliquerai le succès des medecins…. Que dire de ce médecin qui passe une commande à son épicier? Eau minérale se transforme en veau de Charal Papier W.C. en papier verré. Et celui qui se plaint que ses comptes ne sont jamais juste? Il devrais éviter de rédiger ses cheques lui-même! Et le médecin musicien dont le slow dont il a écrit la partition et le texte se transforme en rap style Doc gynéco? Un médecin qui fait de la peinture peut-il avoir un style autre que impressionniste? Et le conjoints de médecins? Je dis le conjoint et pas les conjointes parce que le masculin l'emporte sur le pluriel. Il y a de plus en plus de femme médecin. Et des jolies… Bénédicte si tu me regarde… ! Donc le conjoint doit-il être pharmacien pour déchiffrer les mots doux? Imaginez un médecin fauché obligé de travailler comme serveur! Quoi pas possible à imaginer? Un médecin fauché? Bon d'accord imaginez un serveur écrivant comme un médecin,et la tête des gens dont il a noté la commande quand ils reçoivent leurs plats! Et puis si cette manière d'écrire est innée, comment les profs cotent-ils les élèves? Sur leur prestance? Ah bon c comme ca qu'on devient médecin? Une belle gueule et une mauvaise écriture? Pas rassurant… Quoi ils ont inventés les examens oraux? Ahhh je préfère ca…!

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..) Ma passion blues les voyages
Je suis grande, 175 cm, je suis chatain clair, les yeux noisettes, je recherche un homme grand, brun et mat de peau qui aime les voyages dans les iles, j'étais à la Réunion c'était top, génial, je voudrais aussi partir en turquie, tunisie, enfin voyager mais accompagner. J'aime la RNB, la groove, le rap, j'adore danser, mais dans des bars, ou les ambiances sont moins stressante. et vous???? Lisez moi ! souriretriste si je savais qui je suis....
Un chapitre de ma vie, je ne sais qui je suis ce que je veux, mais si vous savez me lire je vais essayer d'écrire des mots pour l'expliquer. Divorce, enfant et je ne me retrouve plus, je ne sais plus comment faire pour plaire à un homme, je ne sais plus comment aimer, je ne sais plus ou le positionner dans mon coeur. En fait, je ne veux plus me poser de questions, je ne veux plus etre soumise, je ne veux plus devoir donner des comptes, expliquez moi si tout ceci est normal, dites le moi avec des mots, merci Amour éternité extrait de vie
Ce jour, je me suis dit qu'il fallait que je dise à quelqu'un ce que je recherche. Je viens de trouver ce carnet que vous pourrez lire, c'est simple j'ai envie d'amour, amour avec un grand A. Un amour qui soit complice, simple et sans questions, j'ai vraiment envie d'aimer, simplement aimer. Les hommes ne savent plus aimer, ils ne savent plus faire la cour, celle qui nous embellit, qui nous rend unique, celle que nous attendons, des mots simples et des gestes simples.J'ai envie d'être la femme d'un homme, et avec lui, je partirai en week end, on s'éclatera sur une plage et on fera l'amour. Je serais la plus belle à ces yeux, nos regards en diront long, on se comprendra, il m'apprendra tout ce que j'ignore et je l'écouterai, amoureuse, je me délecterai de ces paroles, je l'aimerais, et vous qu'en pensez vous? Humour Menfin Des médecins
Mon père m'a toujours dit que parmi les cours que suivent les pharmaciens, un des plus importants est celui de déchiffrage graphologique. C'est ce cours (appelé à disparaître avec le généralisation de ordonnances rédigées par informatique) qui leur permettent de déchiffrer l'écriture des médecins. Je me suis toujours demandé ce que cachait cette manière d'écrire si difficilement déchiffrable. Est-ce pour garder une confidentialité entre médecin et pharmacien? Sorti du contexte médicale, cette manière d'écrire doit apporter des avantages et des inconvénients. Par exemple, lorsque un médecin écrit une lettre d'amour, cela permet-il à la personne qui la déchiffre d'y lire ce qu'elle espère y lire? Cela expliquerai le succès des medecins…. Que dire de ce médecin qui passe une commande à son épicier? Eau minérale se transforme en veau de Charal Papier W.C. en papier verré. Et celui qui se plaint que ses comptes ne sont jamais juste? Il devrais éviter de rédiger ses cheques lui-même! Et le médecin musicien dont le slow dont il a écrit la partition et le texte se transforme en rap style Doc gynéco? Un médecin qui fait de la peinture peut-il avoir un style autre que impressionniste? Et le conjoints de médecins? Je dis le conjoint et pas les conjointes parce que le masculin l'emporte sur le pluriel. Il y a de plus en plus de femme médecin. Et des jolies… Bénédicte si tu me regarde… ! Donc le conjoint doit-il être pharmacien pour déchiffrer les mots doux? Imaginez un médecin fauché obligé de travailler comme serveur! Quoi pas possible à imaginer? Un médecin fauché? Bon d'accord imaginez un serveur écrivant comme un médecin,et la tête des gens dont il a noté la commande quand ils reçoivent leurs plats! Et puis si cette manière d'écrire est innée, comment les profs cotent-ils les élèves? Sur leur prestance? Ah bon c comme ca qu'on devient médecin? Une belle gueule et une mauvaise écriture? Pas rassurant… Quoi ils ont inventés les examens oraux? Ahhh je préfère ca…! Amour Perdu en Alsace Les cieux bleus
Le ciel bleus de l'amour, ne nous sembleraient jamais si beau, si nous n'avions si souvent à en subir le ciel gris. L'amour nous plairais-il autant, si il ne découlais pas d'une souffrance vaincue. Une de mes amies dit souvent : " Si je peux facilement vivre seule, je ne pourrais jamais rester seule dans ma tête". Le moins que l'on puisse dire c que depuis 18 mois, je n'ai pas été seul dans ma tête. Depuis un an que c fini, c carrément un fantôme que hante mes esprits, jour et nuit. A peine ais-je trouvé un moyen de penser moins à elle, Namour, qu'elle resurgit, son ombre recommence à me tourmenter. Qu'aurais-je pu faire pour la garder? Est la question qui revient le plus souvent. Avais-je quelques choses à ne pas faire, étais-ce inéluctable, le destin? Le destin il en aura été question plus d'une fois , lui qui a provoqué notre rencontre.

Lisez moi ! Perdu en Alsace Ad vitam, et advienne que pourra.
J'adore mes enfants, J. , M. et P. Plus j'essaie d'être présent... et plus le contact semble se déléter. J'espère juste sincèrement, que s'ils se rendent compte un jour qu'ils ont été manipulé, ils n'en veulent pas trop à leur manipulateur(trice)(s). Autres. Benco Les hirondelles du roi.
Il était une fois,dans un royaume lointain,très lointain,un roi qui avait trois filles:Morgan,Charlotte et Isabelle.Toutes trois étaient magnifiques et le roi se faisait vieux.Alors il les convoqua: <<-Je me sens vieux et je me vais bientôt rejoindre votre mère. Je n'ai pas d'héritier.Que chacune d'entre vous m'en ramène un!Choisissez le bien.J'ai trois hirondelles,chacune d'entre elles vous suivra et vérifiera que votre amoureux l'est de ce que vous avez dans le coeur.>> Sur ce,il fît apporter trois magnifiques cages dorées contenant chacune un oiseau au plumage d'argent.Ils chantèrent de coeur leur liberté avant de se poser sur l'épaule d'une princesse.Ensuite,les filles du roi mirent des habits de fermières et s'en allèrent par les trois portes:Morgan partit vers l'est,Charlotte par le sud et Isabelle à l'ouest. Charlotte,elle,sortit un diamant de sa poche,embobina un seigneur pour qu'il se présente devant le roi et acheta le silence de l'hirondelle. Morgan décida plutôt de donner l'hirondelle a un renard et remit ses habits bordés de saphirs. Isabelle,par contre,joua le jeu et se rendit dans une taverne,le lieux favori des hommes(elle le savait très bien grâce au démonstrations de son père) <<-Y a-t-il un brave homme pour me conduire chez celui qui est le plus fort de la ville?Demanda hautement la jolie fille. -Oui!Moi!Je suis le forgeron,l'homme le plus fort de la ville et je suis assez brave pour te conduire chez moi.>> Il conduisit aussitôt Isabelle,qui était pourtant une inconnue,chez lui dans un chariot de fortune tiré par un âne.Après quelques papotages fort amoureux,elle lui expliqua que son père était malade sans pour autant lui dire qu'il était roi. Le jour prévu,le 21 mars,les trois filles se présentèrent chacune devant leur père en même temps avec un homme. L'un était beau,l'autre était riche et le dernier était fort et brave (même si ça ne se voit pas).Le roi choisit comme gendre l'homme qui était arrivé au château avec Charlotte. Isabelle contesta: <<-Père,et les hirondelles? -Oui c'est vrai,se rappela le vieil homme,Charlotte,peux tu nous présenter ton hirondelle?>> Charlotte présenta de suite l'hirondelle qui cita: <<-Monsieur le roi,votre fille et cet homme sont nés pour vivre ensemble. -Ma fille,commença le roi,je ne veux plus te voir dans ce royaume:ses yeux sont roses,signe qu'elles mentent.>> Ensuite,ce fût au tour de Morgan de présenter son hirondelle: <<-En chemin,un renard l'a mangée,je ne peux donc pas te la présenter. -Morgan,radota un peu le vieux,toi non plus je ne veux plus te voir,j'ai gardé une plume d'argent qui est passée au doré,signe que tu t'es arrangée pour que cela arrive.>> Puis,Isabelle montra son hirondelle,le roi procéda au mariage et le forgeron,nommé Mathias,vécu heureux avec Isabelle. Depuis,le 21 mars est le début du printemps et du retour des oiseaux,dont,bien sûr,les hirondelles. Je m'appelle Benjamin et j'ai 12 ans,merci d'avoir lu. Perdu en Alsace Lettre ouverte a Nathalie
Nathalie, On, a été amis pendant 5 ans, c’est en tout cas c’est ce que je crois encore. En décembre tu as remis en cause cette amitié. Tu m’as fait des reproches sans me laisser me défendre. Tu as préféré te justifier auprès d’une de mes amies, avec qui tu n’avais auparavant échangé que quelques mots, mais tu ne veux plus m’entendre. Cela fait deux mois que cette situation fait que je suis mal en pensant à toi. Cela suffit. Je prends ici le droit de te dire ce que tu refuse d’entendre. Ci-dessous un message envoyé le 12 février. Je ne peux comprendre ton manque de réaction suite à ce message que par le fait que tu ne l’aie pas lu. J’en ai modifié la première phrase. Bonsoir Nathalie, Mes dernières réflexions.... je viens de penser que tu as pt été jalouse que j’aie eu de l’attention pour F. devant toi. C'est idiot que je pense ca, mais comme je ne sais plus quoi penser... Il y a un truc qui m'a échappé.... et même dans un contexte tendu a faire exploser certaines chose.... cela n'aurait pas du faire exploser une amitié de 5 ans, mais.. Dans la mesure ou tu n'as pas le courage de me répondre quand je t'appelle, l'explication mutuelle que l'on devrait avoir, n'est pas pour demain. Nathalie, je n'ai pas besoin de ce que tu représente, je n'ai pas besoin de toi au niveau financier, je n'ai pas besoin de toi pour apprécier un jacuzzi, tout ce qui est financier, tout ce qui est vénale, tout le confort du monde, ... je m'en fout.... et tu le sais. Mais ce que tu es, l'amitié que l'on a eu pendant 5 ans... c'est autre chose ça j'en ai besoin et je ne comprend pas ce qu'il se passe pour le moment. J'ai laissé toutes les portes ouvertes. A force, je suis en plein courant d'air et en train de me refroidir. Je n'ai pas les moyens d'assumer une pneumonie..... Et je vais devoir refermer les portes. A toi de les franchir avant. Bise. ----------------------------------------------------------- Aujourd’hui, ayant pris le temps de réfléchir suite a ton texto reçu il y a quelques jours j’ai rédigé le texte ci-dessous. Nathalie, mon amie, Depuis ce matin de décembre, ou me levant, a moitié dans le gaz comme toujours quand j’émerge, je me suis retrouvé face a toi qui me reprochait plusieurs choses, depuis ce jour, je ne comprends pas. J’ai essayé a plusieurs occasions de susciter la discutions afin que nous puissions en parler. Je ne l’ai pas toujours fait adroitement, mais je suis comme ca, parfois maladroit mais toujours intègre. J’ai bien sur perçu un malaise pendant notre séjour en alsace. Je l’ai mis sur le compte d’un mal être, que j’ai essayé d’atténuer de mon mieux. J’ai proposé de vous inviter au restaurant, nous avons proposé de cuisiner un soir, cela a été décliné. F., qui était souvent éveillée tôt a fait la vaisselle. Alors que l’on s’était préparé pour aller marcher, la boum2 a semblé plus motivante que de venir avec nous. De même qu’un voisin semblait susciter plus d’intérêt que de passer une soirée avec nous chez Raphael. Ces éléments en contradiction avec ceux qui m’on été reprochés, font que je ne comprends pas. Je ne comprends pas que depuis 2 mois nous ne nous soyons pas parlé, je ne comprends pas que 5 jours aient pu mettre a mal 5 ans d’amitié. Et bien que je sois loin d’avoir choisi que l’on ne se parle plus, je respecte au mieux ce choix. Ces reproches que j’ai subit, sur le moment ne représentaient qu’une égratignure a notre amitié. Dialoguer aurait permis de le soigner. Le manque de dialogue a infecté cette blessure, et le moment est proche ou la gangrène aura gagné toute notre amitié. Si il est écrit que cette amitié, notre amitié, doit mourir, je m’y résoudrai, mais j’en serai malheureux. Pour le moment aucun signe ne me donne a penser qu’elle perdurera. Ce signe toi seule peut avoir le courage de le faire. La balle est dans ton camp. S. ----------------------------------------------------------- Nathalie, Je vais te retirer de mes contacts msn. Non pas que je ne veuille plus te parler, loin de là, mais parce que te voir connectée et ne pas pouvoir te parler me fait mal. Je vais aussi te retirer des contacts de mon téléphone pour la même raison. Et si l’on doit faire le deuil d’une amitié comme on doit le faire de la perte d’un être cher, je me laisse encore quelques jours d’espoirs avant de l’entamer. Je t’embrasse et te souhaite d’être heureuse. Coup de blues. colombe la dégringolade
plus de fille plus d'époux plus de famille plus d'amis plus d'entreprise juste un adorable petit chien plus de soleil plus de mer plus de voyages plus de sourires plus de rêves juste un adorable petit chien cet adorable petit chien sera toujours mon meilleur ami Coup de g.. Perdu en Alsace Mon ex.
Mon ex ne serait peut-être pas mon ex si elle avait été autre. Et si moi j'avais été différent. Faire 3 enfants. Et presque 10 ans après la séparation, ne toujours pas savoir dialoguer, c'est une triste constat qui est malheureusement une réalité. Vouloir faire souffrir l'autre parcequ'on a des griefs, est une chose. Refuser de se donner une chance d'enfin dialoguer en est une autre. Elle m'envoie son huissier, mon avocat lui répond. Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut entendre. Sa manière d'être sourde est de crier, quand au mieux on essaye de parler. Dialogue.... je n'aspire qu'a ca. Carnet de route. Menfin Mon fantome des aéroports.
Je viens d'avoir une chance pas possible. Je viens de franchir un océan. En moins d'une semaine j'ai vu une plage du pacifique et une de l'atlantique. En moins de deux semaine, je suis passé par l'aéroport de bruxelles, new york, miami, guatémala city, miami, londre et bruxelles. Et malgré cela, je n'aurais souhaité que la croiser, elle. Elle que je n'ai plus vu depuis 6 ans...j'ai cru la croiser... comme un fantome dans tous les aéroports que je viens de fréquenter. Humour Menfin humour du jour.
Ma mère a passé plus de temps chez le psy que chez le dentiste. Heureusement, moi, j'ai de mauvaises dents. Autres. Perdu en Alsace Scié 2
12 ans et voila ce qu'il écrit déja ... de quoi être scié, non? -Paul ! -Mm ? Qu’y a-t-il ? Qui êtes vous ? -Il est l’heure de se lever, je suis ta maman! -Ok. Mais quelle heure est–il ? -Il est 8h. -Mais pourquoi ne m’as tu pas réveillé plus tôt ?!? -Tu dormais si bien. -C’est pas une raison ! Après une douche rapide et un réveil stressant je voulu me faire un cacao mais je découvris rapidement qu’il n’y avait plus de « Nesquik », catastrophe, que faire ? « Tant pis » me suis-je dis. Je descendis en bas et mis mes chaussures ma veste etc. -J’ai perdu mes clés, aide moi à les retrouver ! s’exclama ma mère -Non, chaque matin c’est la même rengaine, tu les perds parce que tu ne les a pas mises au même endroit ! lui répondis-je -Ca va, je les ai ! reprit-elle Nous tentâmes d’utiliser la voiture pour aller à l’école mais celle-ci ne daigna pas démarrer. Il fallait courir, c’est ce que je fis, heureusement, j’arriva pile a l’heure a l’école. -Ouf, me dis-je -Dag Mevrouw ! - Dag kinderen! -[Yhulie méte wéz gegrouth] (phonétique, j’ai jamais compris la phrase…) Nous commençâmes la prière quand, tout a coup, ils entendirent « Hahahahaha »c’était, évidemment, Régis et Anthony. Mais il ne fallait pas leur en vouloir car ils aiment rire pour un rien. Le cours était presque terminé. -[Ném –je skaul ] agenda (exagération). -Nederlands, majuscule sans accent. Après que nous ayons vidé notre mallette et que Simon, Moi et Robin etc. ayons mis Nicolas dans son fauteuil Monsieur prit les présences : -Tout les corps sont là ? Les cor-nus (cornus) les cor-sages (corsages) etc. -Oui M’sieur ! Sauf le Corps de Freddy … -Ah oui ! Je l’avais oublié celui-là … -Sachez que je ne tolère pas que vous m’oubliez ! Ce n’est pas parce que je suis un con-sidéré (considéré) qui est mort que vous devez me considérer de la sorte ! {Je chuchotai à Robin : « Depuis qu’il est mort Freddy est plus malin…}. -Paul ? -Hum , oui ! En réalité je dormais encore mais cette fois je ressentis un sentiment bizarre, mais qu’étais-ce ? -« Debout Paul il est l’heure de se lever et la salle de bain est libre. » dis ma mère Je fis ma toilette, m’habillai et déjeunai, maman me conduisit à l’école. -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! -Salut ! Pendant la récré, les autres de ma classe et moi vîmes un flash, ce n’était pas un éclair car le ciel était bleu à perte de vue. Après cette journée, les autres furent monotones, mais une dizaine de jours plus tard, notre instituteur nous parla du chef-d’œuvre. Ca me fit (et me fait toujours d’ailleurs) une sensation bizarre car autant ça pouvait s’avérer merveilleux et autant ça pouvait s’avérer très compliqué. Dès ce jour, j’ai pensé à ce que j’allais réaliser. Au début, j’ai pensé à l’humour et j’ai aussi pensé à tenter d’instaurer une loi donnant aux personnes qui plantent des arbres de l’argent, et j’ai pensé également au vin et pour finir, le bon : le livre. J’en ai parlé à Monsieur, pour notre « 2ème rencontre »et il m’a dit que c’était une bonne idée. Ce qui m’a fait bizarre c’est qu’il nous avait dit qu’il nous orienterait vers quelques chose de réalisable mais pour moi ça devenait vraiment compliqué donc en faisant ce livre je fais de mon mieux mais je ne saurais pas en faire autant qu’il dit. Aujourd’hui encore, j’écris ce qui me vient à l’esprit car je fais un livre aussi réaliste que fantastique ou fictif, car, à mon goût une bonne histoire raconte des faits réels embellis ou « enlaidis »mais n’est pas toujours faite pour le commerce car la plupart les gens écrivent ce qu’ils ressentent pour exprimer leurs sentiments à personne aussi bien qu’à tout le monde. Car les paroles (donc l’expression orale) elles, peuvent être tues mais un livre peut-être déchiré .Venons en au fait, Le(s) sentiment(s) de la personne ne seront jamais tus !!! Vous pouvez me taire mais vous ne tairez jamais mon cœur ! Revenons-en à mon livre ; voici le titre « Comment réussir un chef- d’oeuvre parfait en 10 leçons qui ne le sont pas » Je vous cite un extrait ; « Leçon 1 » « Pour réussir son chef–d’œuvre il faut un sujet : pas trop compliqué mais pas trop simple non-plus car cela signifiera que vous ne vous êtes guère cassé la tête. Mais pour le sujet il vous en faut un qui vous passionne. Le plus souvent c’est sur un sport ou un animal mais ça peut-être aussi sur l’art, la mode etc. Mais on peut par exemple retracer l’histoire d’un objet de tout les jours dont on ne sait pas vraiment l’histoire. » -Pas mal, non ? Un jour passa… Hier j’ai entendu au Journal télévisé de 19 heures que les planètes s’étaient mises d’une façon bizarroïde. J’ai également entendu qu’on avait découvert une sorte de trou noir dans le désert, ça semble bizarre mais les médias n’en ont pas beaucoup parlé, étonnant car les médias font toujours un grand tralala pour un rien mais pour une découverte aussi surprenante, rien ! Peut-être que les Américains sont arrivés avant les autres et ont décidé d’étouffer l’affaire comme ce qui s’est passé vers la zone 51(Roswel). Dix jours plus tard il se passa autre chose : le trou s’est rebouché mais autour est apparu une sorte de sceau mystique. Une fois de plus, les médias n’en ont pas beaucoup parlé mais par contre ils ont beaucoup parlé d’une sottise : un chinois unijambiste était entré dans le palais royal nu (je dis chinois mais ça pourrait-être n’importe qui d’autre, quand je dis chinois unijambiste ce n’est pas raciste, sachez-le). Je ne sais toujours pas si les Américains n’ont pas étouffé l’affaire mais s’ils le font c’est pour ne pas inquiéter la population. J’ai regardé sur Internet pour avoir de plus amples informations mais je n’ai pas trouvé grand-chose si ce n’est que ce sceau ne figure pas dans les livres cabalistiques ni dans les livres sur la prestidigitation. 10 jours plus tard tous les médias on fait un « fromage » car un groupe de 5 personnes ( June Mitrue , Jk Fredlo , Truman Rock, Jean Massin et Michael François Portmaster ) étaient rentrés dans le trou en rappel ,une fois en bas , l’équipe qui était en haut et parlait avec eux avait perdu tout contact . Ce qui me tracasse c’est que Michael … est le petit ami de ma mère. Une autre équipe va descendre dans le trou avec 10 personnes et un système radio plus fiable mais, il y a des risques et j’espère que pour Mikel (c’est son surnom) ainsi que tous les autres qui vont descendre ça va bien se passer. Hier (donc deux jours après que l’équipe Oméga soit descendue « secourir » l’équipe spéciale S) le trou s’est à nouveau refermé et (évidemment) l’équipe d’en haut a perdu le contact radio. Ma maman est à bout de nerfs, elle pleure tout le temps, mais elle a décidé (étant donné qu’elle a beaucoup d’amis) d’y aller elle aussi. Le problème est qu’il faut attendre que le trou se rouvre mais théoriquement c’est tout les 10 jours …Soit, on part demain en avion pour l’Égypte, nous en avons pour longtemps en avion mais ma mère va tout faire pour sauver Mikel d’ailleurs je viens avec elle même si c’est très dangereux. Ma maman ne peut m’en empêcher car j’ai soif d’aventure et je meurs d’impatience de résoudre ce mystère. Bref, nous sommes aujourd’hui dans le désert mais nous ne sommes pas encore au « trou » nous y arriverons probablement dans 1 heure, je vais faire une sieste dans le 4X4 en attendant. 2heures (et non pas une) plus tard l’équipe Cadiak arriva à l’endroit souhaité. Par miracle il s’était rouvert mais voyant le trou de près ils se rendirent rapidement compte que le trou semblait sans fond. -« Maman ! Il faut installer le poste radio »dis-je. -« Oui, effectivement mais pas tout de suite, d’abord installons les cordes etc. pour la descente en rappel. » répliqua t elle. Après que nous eûmes fini de monter le matériel d’escalade, nous avons installé le poste radio, tout s’est bien passé. À 15h nous avons commencé le rappel et à 16heures nous étions 20 mètres plus bas. On ne voyait toujours pas le fond alors j’ai lancé un caillou que j’avais dans ma poche, il a fallu au moins 45 secondes pour que nous entendions un son .Suite au lancé de caillou nous n’avons pas entendu de voix. Un « aïe » nous aurait beaucoup soulagé, malheureusement rien. À 17 Heures nous étions à - 40 mètres et à 21h30 nous touchions le fond, nous en étions donc à –125 mètres, il n’y avait rien, nous avons vu un tunnel. Après être rentrés dedans nous avons découvert un liquide jaune couleur dorée qui était étalé un peu partout, et nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quand les planètes seront alignées et que le trou sera creusé à 22h22 le 22/11 /2005 Imatsouhy le « Dévore-rêve » se relèvera et anéantira les fils maudits de « Ikjayadead » ». Je tremblais, non pas parce que j’avais peur mais parce que j’avais froid, ça ne me faisait guère peur car nous n’étions que le 21/10/05. Mais tout de même, au fond de moi, j’avais un peu peur, même si ce n’était peut-être qu’une légende. Et j’espérais ne pas être un des fils de Ikjayadead. Nous continuâmes et nous vîmes une statue représentant une sorte de « I » empalé par une épée. Nous nous dépêchâmes car si les équipes spéciale & Oméga était en danger, il valait mieux ne pas tarder. Sur la route nous avons découvert quelques chose d’étrange , il y avait une dalle avec une sorte de tête d’ours dessus , tout à coup , nous avons perdu le contact radio. « À COUVERT !!!! » cria quelqu’un. Nous étions à terre lorsque des flèches sont passées au dessus de nos têtes. C’est seulement à ce moment que nous avons découvert qu’il y avait des pièges meurtriers tout autour de nous. C’est Jill qui en a fait les frais, malheureusement pour elle car elle s’est fait toucher par une flèche au bras. Étant donné que je suis le plus jeune, je ne pouvais pas aller chercher du secours (du moins pas tout seul) alors Gheyn y est allé, c’est un des hommes les plus rapides du monde, pour escalader. Nous lui avons donné un talky walky et nous avons gardé l’autre, nous sommes restés 8h à attendre les secours malheureusement, rien ! Entre, temps le bras de Jill allait un peu mieux. Nous avons continué et fixant la dalle avec l’ours dessus, j’ai vu une lumière qui apparaissait et disparaissait constamment. Continuant le chemin nous vîmes un parchemin. Il disait ceci : « Quiconque pénétrera dans le tombeau d’Imatsouhy périra ou sera capturé par les Mitsgnohuis et sera sacrifié 15 jours avant la prophétie (si ce dernier survit entre temps) ». Nous étions dans une salle, un cul-de-sac. Une porte scellée nous barrait la route. Même en mettant un bâton de dynamite, la porte ne bougeait pas. Il y avais d’inscrit quelques chose sur la porte qui semblait indéchiffrable. C’était en réalité des hiéroglyphes et, heureusement, un membre de notre groupe savait vaguement les traduire. -Apparemment ça veux dire quelque chose du genre : « Prononcez le mot de passe et faites le « rite d’ouverture » » dit Muxtyl. Gheyn (que certaines personnes jugent de « sorcier ») nous avait laissé un livre qui parle d’une légende. En gros, la légende parle d’un rituel ancien que seul une personne pouvait ou a pu ou pourra utiliser. Et si cette personne c’était moi ? Et si, en réalité, plusieurs personnes pouvaient se servir de ce rituel ? Je n’en savais, et je n’en sais toujours rien. -Nous n’avons pas le choix, dit Maman, il faut faire demi-tour. Nous étions sur la route quand, tout à coup, il y eut une sorte d’éboulement. On essaya de dégager Jill (qui n’avait, une fois encore, pas eu de chance) mais les rochers semblaient peser une tonne. On tenta le coup plusieurs fois, malheureusement, pas moyen. Je regardai en l’air et vis une sorte de poutre en fer. En réfléchissant, je me rendais compte que nous étions peut-être dans une sorte de mine, qui faisait également office de tombeau. J’expliquai au groupe mon idée ; attacher les rochers un par un à la corde et les soulever par l’intermédiaire de la poutre. Le rocher étant soulevé, Jill souffrait évidemment moins. Il restait tout de même un problème ; nous étions bloqués car les rochers que nous avions soulevés avaient formé un nouveau cul-de-sac en retombant plus loin. Que faire ? Nous fîmes, une fois de plus, demi-tour et encore et encore … Nous n’arrivions pas à décider ce que nous allions faire. De plus, les secours n’arrivaient pas. Après avoir attendu plusieurs heures. Nous avons à nouveau pensé « Et si on essayait de déboucher l’entrée au lieu de ne rien faire ? ». Evidemment c’est ce qu’on fit. Les rochers étaient très lourds mais nous avons réussi à enlever une partie. Puis un autre, puis encore une autre. Les secours se faisaient toujours attendre. Mais rien, rien de rien. En « se promenant » tout près de la porte verrouillée nous n’avions rien vu, mais cette fois ci on remarqua qu’à côté de la fameuse porte verrouillée il y avait une autre porte, mais elle était couverte de poussière, c’est pourquoi nous ne l’avions pas vue. Pour l’ouvrir, la question ne se posait pas : pour ce qui est de la méthode, vive la dynamite ! Il nous a fallu approximativement 12 bâtons de dynamite pour ouvrir cette fichue porte mais nous y sommes parvenus ! Derrière la porte, galère, il y avait une autre porte. Cette fois ci il n’a fallu qu’un bâton de dynamite. Derrière cette porte enfin ouverte il y avait une nouvelle porte mais cette fois -ci elle semblait impossible à ouvrir. C’est prouvé, si vous ne me croyez pas, demandez aux bâtons de dynamite (enfin, à ce qu’il en reste). D’un certain point de vue, elle pouvait être facile à ouvrir car il y avait un une sorte de serrure. Mais la facilité avait néanmoins une difficulté : « Où est cette clé ? ». On réfléchissait tous. J’y pensais, y pensais, y pensais encore lorsque j’ai pensé à cette fameuse statue. Nous sommes allés jusque là et, nous avons cherché, cherché, et cherché encore. Puis nous l’avons enfin trouvée. Nous sommes ensuite allés ouvrir la porte. Derrière, devinez ce qu’il y avait ! Une porte ? Non ! Il y avait une sorte de sentier. Continuant le chemin, devinez ce que nous avons trouvé ! Une porte ? Bien évidemment, une porte, l’invention qui, pour le moment, nous ennuie assez bien. Sur cette porte qui, pour le moment, était la dernière, il y avait des inscriptions. C’était une fois de plus des hiéroglyphes ;à croire que ceux qui ont « construit » ce lieu, quels qu’ils soient ne sont pas très doués pour faire des choses variées. Revenons-en à nos portes, d’après Muxtyl (celui qui traduit les hiéroglyphes) cela voulait dire quelque chose du genre : «N’avez vous donc pas compris que vous vous êtes trompés de côté ?». Cela nous semblait bizarre ; « Et si c‘était un piège, et si en fait c’était justement une façon de nous dissuader de passer par là » ? Si c’était le cas le mieux était de continuer et, également, si c’est le cas c’est que les personnes en question, ont quelque chose à cacher. Quelques chose me vint, tout à coup, à l’esprit : « les personnes » n’utilisent probablement pas la dynamite donc, il y a sûrement un ou plusieurs autre(s) moyen(s) pour ouvrir ces portes, par exemple , une phrase ou un mot ou ... En en parlant au groupe, Muxtyl dit : « Hahahahah mais bien sûr, attends, regarde ! » et il fît en se tournant vers la porte « Alakasamme » et il se fit (comme on le dit souvent) « casser » par ses propres actes. Non mais franchement, quel crétin celui-là. En attendant, sa bêtise nous a ouvert (j’ai compté) 78 portes, oui ! 78portes c’est bel et bien ce qu’il avait ouvert. Bref, les portes étant ouvertes nous pouvions évidemment passer. Sur le chemin (qui était, particulièrement long) on se demandait ce qu’il pouvait bien y avoir plus loin. Plus loin, c’était en fait, un cul-de-sac. Les hiéroglyphes inscrits sur la porte (que nous avions lu auparavant) disaient-ils vrais ? Nous n’en savions trop rien. Mais cette impasse semblait-être provoquée par un énorme rocher. Mais il aurait presque fallu une grue pour le déplacer. La traduction des hiéroglyphes me trottait dans la tête. Piège, ou non ? Je ne cessais « d’hypotèser ». Finalement, je me suis dit que ce n’était pas un piège, quel aurait été l’avantage des « personnes » à nous prévenir que nous étions en danger ? Quoique, ce sont peut-être des « bienfaiteurs » ; dernière conclusion : « il ne nous veulent probablement pas de bien, que du contraire » pour le rocher, je crois avoir compris, il faut probablement dire quelque chose ! Même si c’était le cas, c’était presque impossible de deviner la phrase. Ca me trottait, une fois encore, dans l’esprit. Je ne l’avais pas remarqué auparavant mais, il y avait un flambeau à côté du rocher. J’avais enfin, la solution ! J’ai fait ce qu’il fallait, j’ai tourné le flambeau et, miracle ! Le rocher s’est déplacé ! Derrière ce rocher il y avait un chemin, ce chemin menait à une salle dans laquelle il y avait 4 majestueuses statues. Ces statues se regardaient deux par deux. Continuant le chemin, nous vîmes de nouvelles statues, c’était très impressionnant car il y avait de plus en plus de statues. Plus différentes les une que les autres. D’une statue de Pharaon (d’après Muxtyl) à une statue qui semblait être du style Michel Ange. Néanmoins beaucoup de statue ne ressemblait à rien de connu pour nous. Même si certaines ressemblaient à des moines. Plus nous avancions, plus les statues faisaient peur car elles commençaient à ressembler à des monstres, à des créatures mystique et autres choses. On tombait de sommeil. Alors, nous décidâmes de déposer nos sacs, et de dormir quelques heures. Il faisait froid, c’était, pour ainsi dire, impossible de dormir. Heureusement, je suis quand même parvenu à dormir quelques heures. L’air de rien, ces quelques heures de sommeil nous avaient fait le plus grand bien. Bref, nous étions d’aplomb pour nous faire secourir. Seulement voilà, personne à l’horizon, même si le bras de Jill allait mieux nous ne tenions pas à rester ici. Mais rappelons nous que pour faire demi-tour c’était impossible car il y avait eu un éboulement. Continuant le chemin car nous n’avions pas le choix Il y avait un arbre. Il bouchait le passage, et de plus l’arbre semblait avoir une écorce dure comme la pierre. - « Qui va là ? » cria quelqu’un - « Qui êtes vous ? » répondis-je - « Je suis Loundar, un banni de la tribu « Boufniak » forcé à errer et a protéger l’accès à leur maudite cité. » répondit l’arbre - « Laisse nous passer, nous sommes « des gentils » et si tu nous bouches l’entrée ça voudra dire que tu leur obéis ! » dit ma mère - « Je ne le peux pas, le mage déchu « Nya » m’a jeté un sort, si je vous laisse passer, je mourrai et j’irai en enfer ! » s’exclama Loundar - « Alors ?!? Comment allons-nous faire pour passer ? »m’exclamai-je - « Il vous faut répondre à des énigmes ! » enchaîna l’arbre. - « Très drôle ça ! lesquelles donc ? » dit Jill - « Celle –ci : « Je nais dans vos yeux, traverse vos joues pour mourir sur vos lèvres. Qui suis-je ? » » - « Les larmes ! » répliqua Muxtyl. - « Bonne réponse » dit l’arbre. - « 2ème et dernière énigme : « Je nais à l’intérieur de votre corps, j’embellis les journées monotones et je suis le pilier de la vie, qui suis- je ?» » Le bruit assourdissant du silence laissait sans voix. -« L’amour » dis-je émerveillé. « Bonne réponse, je vous laisse passer » dit Loundar Même si le passage était étroit nous parvînmes à passer. Le passage menait à une sorte de village qui ressemblait à une prison. Les portes des « maisons » ressemblaient plus que fortement à des portes de cellules. Et, en réalité derrière chaque porte, il y avait un membre des deux équipes. Malheureusement, un manquait à l’appel, MIKEL ! -« Oh non ! Oh mon Dieu non ! » s’exclama ma mère. Elle était à bout de souffle ; en réalité nous l’étions tous bien qu’assez soulagés d’avoir retrouvés presque tout les autres. Nous décidions alors de dormir. Je fus réveillé par un traditionnel « Debout Paul ! » Regardant tout autour de moi je reconnu le décors de ma chambre. Et oui ! Je rêvais… Alors qu’en pensez-vous ? Difficile de reconnaître la vérité lorsque l’on dort, non ? Paul 12 ans. Lisez moi ! lor Comment fait on quand on ne connait aucun viticulteurs et que l'on veut effectuer un stage chez l'un d'eux?
Bonjour! J'entre en école d'ingénieur cette année, à l'ENITA de Bordeaux et je dois effectuer un stage ouvrier de sept semaines pour découvrir les conditions de travail des agriculteurs et acquérir des savoir-faire et j'adorerai pouvoir faire ce stage en Alsace chez un viticulteur, mais je n'en connais aucun... Si vous pouvez m'aider... Merci! Amour Le Belge Moni...
Moni moni monika !! Un tremblement de terre. Elle n'en a jamais eu conscience, mais la gentillesse de son sourrire a provoqué chez moi un véritable tremblement de terre, de quoi faire tomber toutes les structures, et me remuer convenablement. L'étincelle qui fait déborder le vase, la goutte qui met le feu aux poudres. Ca m'a tellement remué que je fais de l'humour de pudeur. Un papillon bat des ailes a cologne et ca provoque un tremblement de terre au Japon. Moni souris a Stéphane et deux ans après Stéphane divorce. Stéphane était tellement mal dans un équilibre si précaire dans son couple... que le sourire batement d'aile de papillon a tout fait basculer. Ce ne sera jamais la faute du papillon. 8 Ans après... Stéphane repense au papillon moni... se renseigne et se rend compte qu'elle est devenue une pointure moni. Et Stéphane se dit, je le pressentais. Mais ca fait plaisir de voir que le destin ne m'a pas mis en face n'importe qui pour me bousculer. Et Stephane se dit, le destin veut il que j'essaie de recontacter moni? Journal intime. Perdu en Alsace Scié.
La vie va vite et parfois beaucoup trop vite. Entre je suis fièr de mon fils et ..... tain y a vas plus vite que moi !!! La nuance est parfois trop vite estompée. Je me débat pour ne pas être jaloux, entre ma fiereté et le pressentiment qu'il sera très vite a cent mile lieu de moi. Déja, je ne pourrais plus que l'accompagner. Coup de blues. Menfin Le livre
L'histoire avance, les pages du grand livre continuent a se tourner. Parfois le déplacement d'air créé par le mouvement des pages, crée un vent froid , qui nous laisse glacé, figé sur place. Mais chaque page qui se tourne en laisse apparaitre une nouvelle. L'histoire continue, différente et similaire. Demain est un autre jour même si le soleil se levera comme aujourd'hui et nous réchauffera. Star Academy mariamkiss salut
Dans la starac5 j'etais deçue par le depards de jl mais je continue a encourager ely la cadamicien que j'aime bien et jl bien sur je l'aime mais il est partit et je ne peut pas laisser tomber ely c'est la fille que j'aime bcp mais ce soir je suis sur qu'elle va rester au chateau si j'amais elle sort je serais trés deçu et je ne regarderais plus jamais la starac5 je direrais que ce la starac la plus nul que je jamais vue mercie de m'avoir accepter sur votre site FATLOVE Star Academy mariamkiss hello
bonjour j'm'appele fatlove et j'aimerais vous parlez de la starac5 j'ne c'est pas si vous m'avez lu je voulez vous dire seulement que je suis tres deçus que ely elle soit partit mais c'la vie on y peut rien merci de m'avoir lu et j'aimerais que vous me reponder de que possible mercie d'avance FATLOVE Amour ramses Poème "léger"
Il était une fois une belle princesse venue de l'est Qui du haut de ses 1m75 ne se trouvait pas assez "leste" Alors, prenant son courage à deux mains Elle décida un jour de changer de chemin Préférant l'abstinence totale A une consommation normale Elle dériva dans un océan de sommeil Pour un jour profiter pleinement de son réveil Son choix, plus que judicieux Lui permettra sûrement d'aller mieux Et de vivre pleinement son amour Avec son lion de tous les jours Coup de g.. Menfin Incompréhension
J’ai toujours pensé que les mots confiance et amitié sont indissociables, pour ne pas dire identiques. Je ne parviens pas à comprendre que quelqu’un qui vous propose son amitié, puisse dans un même temps vous mentir. Bien sur, il y a plusieurs sortes de mensonge. Certains mentent parfois pour ménager des susceptibilité, d’autres parce qu’ils pensent que le mensonge est plus doux que la vérité. Certains, enfin, mentent idiotement, arguant a midi de fatigue pour ne pas venir manger avec vous et vos amis, et que vous croisez le même jours en fin de nuit en train de faire la fête. Dans tous ces cas, le mensonge est toujours un manque de confiance, dans la réaction de l’autre. C’est vraiment très loin de l’idée que je me fait de l’amitié. Je ne comprend pas. C’est aussi une manière de dire que je n’ai pas jugé. Amour Perdu en Alsace Lettre a mes enfants .... la suite.
Le 05 11 J’ai peu écris ici ces temps-ci, mais je pense que je vais y revenir plus souvent. D’autant que paradoxalement, en m’étant rapproché géographiquement de vous, j’ai la désagréable impression que tout concourt a nous éloigner. J’ai compris récemment que votre mère a besoin de reconnaissance. Elle a besoin que l’on reconnaisse qu’elle a fait énormément pour vous. Cela je ne le contesterai jamais. Ce en quoi je ne suis pas d’accord, c’est que sa manière ‘inconsciente’ de fonctionner n’a pas changé depuis les années. Elle pense que en me noircissant, elle paraîtra plus blanche. Certain disent que la meilleure défense est l’attaque. Mais ce n’est pas les gens qui sont vraiment bien dans leurs têtes qui disent cela. Elle ne souhaitait pas que je rencontre son nouveau copain, du coup elle a lancé son attaque la plus massive. Cela me fait penser a ces gens qui, parce qu’ils pensent qu’on les regarde de travers, donnent du coup de poings a tout va. Sans se soucier des dégâts collatéraux. Je sais, et je suis persuadé qu’elle sait, que vous avez besoin de moi. Que malgré toutes les conneries, réelles ou imaginaires que l’on ai pu m’attribuer, j’ai énormément de choses à pourvoir vous apporter. Dans ce cas ci non plus elle ne se soucie pas des dégâts collatéraux et préfère vous faire vivre la difficile expérience d’aller devant un juge, de devoir trancher entre deux personnes que vous aimez. Pire que cela, elle vous met dans une situation ou vous n’osez même plus demander a passer du temps avec moi, de peur de lui déplaire. La semaine dernière, j’ai eu l’impression de revivre 10 ans plus tôt, quand à tout bout de champs elle m’attaquait sur ce que je pouvais faire ou ne pas faire. C’est ce travail de sape qui a finalement conduit a la séparation que vous connaissez. Depuis plusieurs mois je me bats pour développer une activité. Le démarrage n’est pas évident, et demande une confiance en soi importante, celle-ci étant chez moi une chose peu évidente. Le résultat est que je suis très perméable à toute critique. Et tout ce qu’elle a pu dire la semaine dernière m’a fait fort mal. Si on faisait partager son bonheur plus souvent que d'obliger l'autre a supporter son mal être, le monde irai beaucoup mieux. Amour colombe amants
Un soir de grand feu Grâce à dieu Mon regard a dévié Du ciel étoilé Pour ne regarder que toi Pour ne penser qu'à moi La peur au ventre Laissant les amis entre L'alcool aidant Toi mon soupirant Tu m'as parlé Je t'ai aimé......... Ma vie n'était que peines Quand je suis redevenue reine Ce soir là nous nous sommes abandonnés pas comme des amants passionnés Plutôt fuyants Pas bruyants........... Ta vie n'était pas un rêve Et notre passion fut brève Un nouveau feu survînt Mon envol vers des horizons lointains Me ramena à la certitude Que l'amour n'est "qu'absurde"......... Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité J'ai repris le goût de vivre En pensant à mes anciens convives Qui pourtant mon trahis Ne donnant plus signe de vie......... De retour sur le continent Bien fut surprenant De revoir un homme prêt à tout Devant ma mine du mois d'août Pensant me reconquérir Alors que je devais guérir........ Des mois durant J'ai eu des amants Tu étais mon ami J'étais ton égérie Puis tu as grandi dans mon coeur et un NON t'as fait peur ......... Tes frayeurs étaient justifiées Et j'étais mortifiée A l'idée de ne pas être à la hauteur De ne pas te donner assez de bonheur Encore aujourd'hui Notre amour est en sursis........... Tout explose en moi Quand je pense à toi Fleur qui ne veut pas s'ouvrir Je voudrais tant m'épanouir Près de toi j'aimerais être saine Rassasiée d'avoir eu trop de peines........... Je protège mon empire En repoussant le pire Notre avenir est incertain Pour tous les lendemains Je ne peux rien te promettre Seulement des "peut-être" .......... Ma vie n'était que peines j'espère devenir ta reine Ce soir nous nous abandonnerons Comme des amants Pas fuyants Plutôt bruyants ......... Amour colombe amitié via le net
Un jour de décembre Bien installée dans ma chambre Un petit clic C'était le hic ! Une phrase a interpellé ma coquille La vie n'est pas un long fleuve tranquille Mon parcours sur caramail M'a redonné des ailes.... Pourquoi ce jour là Parmi tous mes tracas Je me suis connectée à toi Ton pseudo parlait de moi je survivais dans un tel désespoir que les ténebres étaient mon miroir Mais le pouvoir de l'informatique créé des moments magiques..... Aussitôt les mots clairs Un rendez vous éclair Devant un irish café Nous nous sommes parlés De nos vies pesantes sur le thème D'une multitude de problèmes Depuis cet aprés midi Une amitié grandie ...... Ton regard bleu plein de passions Ne méritait pas une telle affliction Un manque évident de tendresse L'espoir de rencontrer ta princesse L'incompréhension de tes proches Mais visionnaire tu te raccroches Avec ton imagination fertile Je ne me fais pas de bile ........... Un jour de désespoir Je t'ai dit au revoir Trouvant dans l'île de beauté Un peu de sérénité Tu étais mon seul soutien Mon ange gardien Pendant ces quatre mois d'absence Par télephone tu m'as redonné confiance......... De retour sur le continent Tu étais toujours présent Depuis les années passent Notre amitié n'a pas d'impasse Le plaisir de se retrouver L'envie de s' aider grâce à un fabuleux outil j'ai trouvé un ami.......... Lisez moi ! Menfin Ginette suite et ...... fin?
Ginette suite et fin. Remettre les choses dans leurs chronologies. Mercredi... je croise Ginette au buffet de la gare de Verviers. Jeudi je vais la voir en concert. Vendredi matin je complète le premier texte sur Ginette. On est samedi après midi de la même semaine au moment ou j'écris ces lignes. Hier après avoir corrigé et complété le premier texte intitulé Ginette, pris d'une impulsion subite, ayant vu qu'elle chantait dans l'après-midi, j'ai pris le train pour spa. Je suis retourné l'écouter chanter. Peut-être me suis je fait des idées, mais elle m'a semblé préoccupée, soucieuse. Elle a fait beaucoup moins de commentaires sur sa vie et ses chansons. J'ai même eu l'impression qu'elle gommais tout cet aspects "pétillant" qu'elle avait si bien mis en valeur la veille. Elle m'est apparue comme a la gare, forte dans son chant et son métier, et par moment fragile, trahie par un regard qu'elle n'avait pu maîtriser. Ce soir je n'irai pas la voir chanter.... et je ne risque pas de la voir chanter avant un sacré moment. Mais je reste persuadé que si le destin en décide autrement.... il fera encore se croiser des chemins. Je n'ai pas osé lui parler hier. Je n'ai pas le tempérament de groupie. De plus j'ai compris ce matin qu'elle me rappelais un peu mes affection d'adolescent, qui me faisait faire des folie, sans même oser parler a la personne qui les motivait. J'aurai pu trouver le courage de lui parler, mais j'aurais cassé ce bout d'adolescence que je revivais. Le livre de la vie continue, les pages tournent. Si nos chemins nous font nous recroiser, je lui parlerai pour avoir le plaisir de l'écouter me parler de sa vraie personnalité qui crée cet univers si déridant. Il m'est tellement passe de chose par la tête pendant ces derniers jours, que si j'écrivais tout, je devrais commencer par : chapitre premier, et que je risquerai de parler des 7 dernières années avant d'écrire le mot fin. Le suite nous diras quoi, mais tout cela me donne envie d'enfin écrire ce premier livre auquel je pense depuis longtemps. Lisez moi ! Menfin Tout nu ou 4 jours deux vie? un début de roman?!
Commentaires de l'auteur : il y a 20 ans on m'a tiré les cartes et prédit que j'écrirais a 40 ans. Eécrire sans être lu n'a aucune importance. Auriez vous envie de lire une suite a ce début de roman? Dites le moi, motivez moi. Mercredi 15H30 Lui. Il venait de s’asseoir à cette petite table du buffet de la gare. Il l’avait choisie en regardant d’abord si elle supportait un cendrier. Il s’était assis face au bar, dans un axe différent de celui ou le gens d’habitude regardent. La table avait décidé pour lui. Il a 40 ans. 40 Ans qui sonnent presque trop, la vie, les aléas le manque de chance, il se sent marqué. Tout en gardant énormément d’énergie positive, là, aujourd’hui il est vraiment fatigué. Il a peut travaillé aujourd’hui, il est loin d’avoir fait ce qu’il voulait. Il a la chance ou la malchance de décider du temps qu’il travaille. Et sa décision aujourd’hui a été d’arrêter tôt, mal partout. Il y a deux semaines il a essayé de courir après le portefeuille qu’on lui avait tiré dans sa poche arrière. Il s’est trébuché et s’est fait mal. Poignet cassé ? Côte brisée ? Il ne sait pas, mais aujourd’hui, il avait trop mal et a décidé de rentrer se coucher. C’est pour ça, que pour une fois il est si tôt à la gare. Que cette fois, il a pris le temps de s’asseoir au buffet et de commander un café. Les gens heureux n’ont pas d’histoire. Lui a en plus d’une à raconter. Il vit les choses a la facon : « il n’y a pas de ciel bleu sans nuages » Sachant apprécier le soleil qui pointe après l’orage. Le calme après les remous du fleuve. Sur internet il serait du genre a prendre un pseudo du style : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ». Parce que quelque part s’il aspire a être heureux, il ne croit pas aux gens heureux sans histoire. Et que même s’il a eu beaucoup de moments désagréables, dans un coin de sa mémoire il a garé quelques moments exceptionnels, pour lesquels ils serait encore prêt en payer le prix pour revivre de pareils. Il ne l’avait même pas encore entendu dire : « je notes des phrases, une de celle la est : Dans un couple l’un souffre l’autre s’ennuie. Moi je préfère souffrir, parceque celui qui s’ennuie finalement, il souffre de s’ennuyer. » Sans le savoir cette phrase presque philosophique, il la mettait en pratique. Même s’il était de mois en moins souvent en couple, il s’ennuyait rarement, souffrait plus souvent, mais pensait que ses moments de bonheur sont a ce prix. Il est blond, a les yeux bleus. Physiquement, il n’est pas mal en fait. Mais il n’a pas voulu le comprendre pendant longtemps, il l’a perçu un moment, trop brièvement. La il ne se sent pas attirant, la fatigue, les soucis accumulés. Il rêve moins. Il est de ces rares hommes qui en arrivent à un stade où ils ne peuvent plus ‘baiser’ et ont besoin d’amour pour se fondre. Il a un livre avec lui. D’Alexandre jardin. Loué a la bibliothèque. Il ne peut pendre le train sans lecture. Quant il est en forme, il se contenterait de quoi écrire, laisserais courir son imagination, ses réflexions et les noterais tout le long du trajet. Mais pas aujourd’hui. Il n’a même pas pensé au bilan de sa vie aujourd’hui, trop fatigué….. Le bilan de sa vie, quand il y pense parfois, il se dit : » si en ramant dans la vie on devait prendre des muscles je devrais ressembler à Schwartzeneger. » Galère ? Il a pris des baffes, ne croit pas trop au christ, mais sans tendre l’autre joue, espère toujours que la baffe suivante sera plus tendre. Tendre, tendresse, il a compris depuis peu ce qu’est la vrais tendresse, mais c’est après elle qu’il court. A une époque il payait parfois, rien que pour être touché, caressé, avoir un contact physique que son épouse lui refusait. Maintenant il ne pourrait plus. Il en est venu a un point ou il sabote toute relation qui ne seraient pas qu’amical. Entre son envie de tendresse et les peurs de n’être pas apprécié pour lui-même il se sabote. Et finalement, il ne le sait pas aujourd’hui, mais là, tout de suite, démarre une crise d’adolescence. Pas une crise d’ado, mais une crise de retour en adolescence. Cette crise va durer 4 jours. Qui n’a rêvé de revivre sa jeunesse. Ou en tout cas les moments forts de sa jeunesse. Dans la gare il ne savait pas, mais il avait pris un ticket pour un tout autre voyage que 30km en train. Son sucre fondait dans son café, sans qu’il sache qu’en plus de revire une émotion d’adolescent, une partie de sa vie allait défiler devant lui, en quelques jours. Elle. L’avion, le train, encore le train. Je suis partie hier, c’étais hier ou avant-hier ? Je ne sais plus. Je suis arrivé dans cette gare, une vielle gare. La décoration est étonnante dans ce buffet de gare. Ca a du vécu…. Mais la plupart des gens respirent l’ennui. J’ai faim. Je commande quoi ?.... hum de la mer. La mer me manque, j’en était si près et a force de chanter je m’en éloigne. Je suis ou la ? En Belgique. Premier contact avec la Belgique j’ai commandé des calamars. 17 mois que je cours. De salle en salle de ville en ville…J’ai encore un chez moi, moi ? Lisez moi ! Menfin Ginette ........
Moments étonnants que ceux passé dans les gares.... ou les buffets de gare. J'ai oublié aujourd'hui... que dans une gare.... on peut encontrer tout le monde.....J'ai croisé aujourd'hui.... un regard bleu... de chez bleu !! Je pense qu'avant de la voir,de croiser son regard, j'ai senti sa présence. Puis je l'ai vue, elle et son regard... Je me suis dit on est dans une petite gare... je la recroiserais un jour ou l'autre... Que de réflexions peuvent passer dans la tête en 15 minutes.... Et malgré tout j'analysais.... quelle age pourrait-elle avoir... physiquement trop jeune pour moi... mais ce qu'elle dégage... quelqu'un de 30 ans est loins d'en dégager autant. As elle une alliance... je regarde .. non je n'en vois pas.... mais elle me regarde la ? ou elle réfléchit? non.. elle a l'air de me regarder... Et moi qui suis fatigué..... difficile de soutenir un regard, de sourire.....Qu'est ce que je voudrais avoir la force de dire par mon regard.... vous êtes trop jeune pour moi mais qu'est ce que vous me plaisez. Et le mec a l'autre table qui lui fait... c'est bon? Ah lui il a un tablier sur les cuisses. C'est un serveur, d'ici probablement. Mais elle, pour manger a cet heure ci, elle travaille ici? Mais si elle travaille ici, je pourrais repasser, un jour ou je serais en meilleur forme, essayer de dialoguer? Elle n'a pas de tablier sur les cuisses ... elle. Nos regards se croisent encore... Je replonge mon nez dans mon café..., tout en la regardant de coté.... c'est bizarre...Forte et fragile a la fois? Elle exprime en même temps une certaine assurance et une timidité... un manque de confiance? .... j'ai compris après: Comment être a l'aise dans une petite gare belge.. quand on est né a 10.000 km de là.? Mais à ce moment la je ne le savais pas.. Puis elle s'est levée... et est venue payer au bar. Ce sourire quand elle parlait..... le feux d'artifice dans la présence!! Des bribes de phrases que j'entend ... " café des thermes" ...... "19 h"..... " Ginette c'est moi!"..... Elle s'en va. Première réflexion. Café de thermes c pas a liege.. elle ne prend pas le même train que moi....puis ressort son accent que j'ai entendu..... accent canadien(elle préfèrerais peut être que je dise québecoise mais bon). Puis les pieces commencent a tomber.... café des thermes, ca doit être spa..., les franco viennent de commencer.... québecoise... elle doit pas être serveuse..... Ca va être rapé... pour discuter un jour ..... avec ces si beaux yeux bleus qui pétillent quand le sourrire pointe en bas.... Chanteuse... oki.. je commence a cogiter... prends mon train vers liège. Dans le train je réfléchi... une présence pareille ... chanteuse... ca doit déménager. Mais bon les franco je n'ai pas prévu d'y aller..en tout cas pas ce soir, par contre mon copain, André, éditeur musical, administrateur a la sabam, doit y aller lui...Il doit la voir en concert.... sil elle dégage autant de facon naturelle, ca doit être une bombe sur scène. Je l'appelle dès que je rentre chez moi. Je rentre et vais voir le site des franco..... je n'étais pas sur d'avoir bien entendu. Et j'appelle André... brievement..... mais rendez vous est donné une demi heure plus tard. En attendant... je creuse... vais voir toutes les dates ou ginnette chante..... appelle ma copine francine qui m'a proposé d'aller faire un tour au franco..... et moi qui avais définitivement décidé de ne pas aller au franco cette année, me programme d'aller voir Ginette demain soir.... Ginette, dont je connais plus la présence....dans ce buffet de gare presque glauque... que les chansons. Et je recreuse... déformation internet oblige.... je tape a tout hasard.... ginette.ca.......oufti la baffe.... les baffes. J'espère qu'il ont été au moins 5 pour faire ce site... moi qui en fait ... je pourrais faire ca tout seul? .... Bon site..... bon niveau.... je recule encore d'un pas face a la demoiselle anonyme que j'ai croisé au buffet de la gare. Je recule parceque je le sais, je le sent, anonyme elle ne le sera plus très longtemps. (je parle de la belgique ou on ne la connais pas encore) Pendant que j'écris ces lignes.... tu dois être en train de chanter au café des thermes..... Demain en théorie, j'irais te voir chanter a la menthe a l'eau.... Pas sur qu'on aie l'occasion de discuter.... même pas sur que nos regards se croisent.... Mais bon si tu lisais ces lignes d'ici demain..... moi c'est Stéphane.... le fils de "Webmaster" (... c'est une private joke).... Et si tu lis ces lignes avant dimanche va voir jouer Jean-Francois maljean.... c'est un 'bon'. J'aime jeter des bouteilles a la mer.. . . Moi déja pas simple je t'ai envoyé un mail en te demandant de venir lire ceci. Et même québecoise, et même 10 fois mieux branchée que les belges...pas sur que tu aie l'occassion de lire ceci avant dimanche. Si ces quelques mots t'on donné l'envie de me répondre, de dialoguer.... tu as mon mail... ou tu peux répondre ici. Stéphane. On est Vendredi matin. Le concert a la menthe a l'eau c'était hier. J'y étais, et mon intuition était bonne. Malgré la difficulté que cela doit représenter de se faire entendre entre la poire et le fromage, (c'étais dans un café ou le gens mangeaient), Ginette a capté l'attention.. et à fait partager son univers. Une vraie évasion.... c'est rare. Merci Ginette. Humour Menfin Aie les infos belges...
Les belges sont coincés entre la hollande et la france. En france les maisons closes sont closes depuis longtemps. En hollande la prostitution a été organisée reglementée.... propre quoi.... En belgique on est entre les deux... les maisons ne sont pas closes les proffessionnelles ne sont pas dans la rue...elles sont en vitrine. Mieux que ca... un artiste a eu l'initiative de mettre certaines de ces proffessionelles en "valeur artistique" ... C'étais présenté ce soir au journal télévisé. Le présentateur ne manquant pas de dire "allez voir". Mais mfi, pour une fois que faire ce genre de leche vitrine sera assimilé a la visite d'un musée....on ne vas pas se gener.... Rire. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à mes enfants
On est le 11/05/03 Je sais comment fonctionne ce site, je sais que chaque fois que je vais faire une mise à jour, c'est, en principe la date de jour de modification qui risque d'apparaïtre. Allez voir en fin de texte les ajouts les plus récents. Je pense que j'entame ce soir une série de lettres. Mes enfants sont loin de moi. Ais-je choisi d'être loin? Oui quelque part... Mais en fait je n'ai pas choisi d'être loin d'eux et ils me manquent beaucoup, j'ai surtout fait le choix d'être bien, mieux, le choix de me retrouver. Et c'est vrais que je pense que c'est important pour eux, de savoir que leur père est bien. Est-ce mieux de savoir leur père bien, que leur père près d'eux. C'est une conviction que j'ai, sans que cela sois une certitude. Et parfois cette incertitude me taraude. Mais bon comme on dit en alsace... Le choix est fait... comment on dit en latin déja? Ah oui alea jacta es...? Le moment est doucement venu de leurs donner un début d'explication. Ils commencent a devenir en age de comprendre. La vie est pleine de surprise. Ceux qui disent que la vie n'est remplie que de choses négatives n'ont jamais su ouvrire les yeux. Ais-je de la chance? Ais-je cette chance de savoir voir en toute situation négative, le positif a en retirer? Ais-je simplement eu cette chance qu'est celle de rencontrer les bonnes personnes, qui vous amènent à vous poser ces questions qui vous font avancer? Est-ce une chance, un hasard,un destin? C'est un autre sujet. Même si en apparence j'ai une vie qui ne semble pas facile, et même malheureuse, en fait, j'ai gagné beaucoup de force ces dernières années. En finalité, j'ai plus appris en 4 ans de divorce qu'en presque 10 ans de mariage. C'est vrais que pour le moment, je suis seul, je me sent seul. Cette frénésie de renconte que j'ai eu un moment, je le sais maintenant n'avais qu'un but. Me prouver que ce qu'on m'a répété pendant 10 ans - t'es moche, tu ne peux plaire a personne, je plains celle que tu rencontrera après moi.. et mieux (hum) encore - n'étais pas vrais. Et c'est vrais que j'ai bien "revalorisé" mon ego depuis. Mais maintenant, j'aspire a autre chose qu'un simple échange physique. Les petites étoiles.... vous connaissez ? non ? Dommage.... parfois quand on est vraiment bien avec quelqu'un, le plaisir physique...n'est rien.... mais les petites étoiles.. humm ! Oui, c'est vrais ce n'est peut être pas le genre de chose que mes enfants peuvent comprendre .. maintenant. Mais c'est un début pour commencer a essayer de leurs expliquer qui est leur père. Quelqu'un de paradoxal, qui d'un coté a su oublier complètement son éducation judéo chrétienne en ne se choquant plus de savoir faire crac crac ... juste pour le plaisir de le faire, et sans jugement, simplement en appréciant le moment présent, et d'un autre coté, qui a besoin de plus en plus... d'être avec qcq qui le fait rêver, lui fait voire des étoiles. Mais comment j'en suis arrivé la? C'est ce qu'il va falloir que j'arrive a leurs expliquer. J'ai mis du temps a être bien dans ma tête, et si je peux leur faire gagner du temps, pour qu'ils soient plus vite eux, bien dans leurs tête, si ce que j'écris ici, n'a que ce résultat la, j'aurais encore plus gagné... bcp plus que si le seul résultat de mon écrit me fait mieux percevoir d'eux. ... A suivre? oui !!! voila la suite.... Le 13/05 Mais que suis-je venu faire dans cette galère? J'ai dit un peu plus haut que c'est un choix que j'ai fait de venir en Alsace. Dire que j'ai fait le choix de rester en Alsace serait plus juste. J'étais dans une période, étonnante, séparé depuis 6 mois, je faisais des rencontres constructives. Je ne voyais pas toujours sur le moment l'enseignement a en retirer, mais par après, la logique de ces rencontres était évidente. Comme cette rencontre qui m'a amené à la réflexion que je n'étais pas " enfermé" en belgique pour le travail suivie quelques jours plus tard d'une discussion sur internet, dont le résultat a été de trouver un travail en Alsace. C'est vrais que au début, je suis venu sans imaginer (loin de la !!) que 3 ans après j'y serais toujours. J'étais sur une vague, je me laissais porter. Je suis arrivé en Alsace en février 2000. Début mars j'ai rencontré quelqu'un qui a énormément compté pour moi. J'y pense encore souvent. Mais sa paranoïa (très mal placée en ce qui me concerne) fait que je n'ai plus aucune nouvelles. En aout, alors que je me posais beaucoup de question quand à mon avenir en Alsace, l'ébauche d'histoire était finie, le travail n'étais pas au top, j'ai passé un week end en belgique.C'est durant ce Week end que j'ai vraiment réalisé ce que je faisais en Alsace, pourquoi j'étais là! Je suis là pour me trouver. Et c'est a ce moment que j'ai réellement fait le choix de rester en Alsace. Mon pseudo peut-être aurais du être : "trouvé en Alsace". ... une suite tour a l'heure... ou alors demain. Le 17 05 Je viens de changer quelques phrases au début du texte. Cela portais a confusion et c'est plus clair maintenant. Je continuerai la suite demain mais, aujourd'hui j'ai appris que ma fille a le premier role dans un spectacle, et encore une fois... je n'y serais pas! Un peu les boules. La suite demain. Le 23 05 La nuit a été longue... (la dernière fois j'avais promis une suite pour le lendemain.... mdr) C'est un exerice parfois difficile que d'arriver a coucher sur papier ce que l'on ressent. Et pour le moment je n'en ai pas toujours la force. Je reviens sur le "trouvé en alsace". Je me suis retrouvé très seul ici par momment, mais avec le temps j'ai aussi trouvé des amis. Par contre ici on m'appelle Stéphane, ou le belge, c'est moi qu'on percois. Ce n'est pas comme en belgique, ou j'étais percu (et souvent jugé ) comme le fils "untel". C'est personnelement beaucoup plus valorisant, et c'est ici que je prend vraiment conscience de qui je suis. Les limites que je pensais avoir, je les repousses jour après jour. Quand j'étais en belgique, je ne pouvais m'empêcher de penser que si les gens me fréquentaient, c'était pour la fascination que mon nom de famille pouvait exercer. Quand a 10 ans, vous avez beaucoup plus d'amis en été, la piscine de vos parents y étant pour quelque chose, cela marque plus tard. Cette envie d'être percu pour soi, pour ce qu'on est, marque tellement parfois, qu'elle peut avoir des effets induits qui vous mettent toujours dans les mêmes situations. Je sais maintenant, mais il m'aura fallu le temps, que j'ai beaucoup de capacité. Malgré cela, je me met toujours dans des situations financière à la limite de la rupture. Pendant un moment j'ai pensé que c'étais cette envie d'être apprécié pour ce que je fait qui me guidait. Je mettais la barre très haut, pour que le résultat n'en soit que plus marquant. Je mettais la barre trop haut, come si inconsciement, il ne fallait pas que je réusisse. Ceci je ne l'ai compris qu'il y a peu de temps. Et la seule explication que j'ai pu trouver, c'est que du coté sentimental, j'avais peur que si je réussisais je ne rencontre quelqu'un qui m'apprécie ma réussite, et non pour celui que je suis. Maintenant, je sais mieux qui je suis. Je sais que je suis quelqu'un d'apréciable... mais je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Beaucoup de gens,et moi le premier, ont conscience qu'il est très difficile de construire un couple quand les soucis financiers sont là et d'autant plus à mon age. Tout ce que je viens d'écrire n'a pas pour but de dire " ehh c'est pas de ma faute si je suis comme ca!! " Au contraire, j'assume la résponsabilité de ce que j'ai entrepris, simplement je me suis rendu compte que je fonctionne d'une certaine manière et que je dois changer cette manière de fonctionnner si je veux avancer. N'empêche, mes enfants vous avez une chance, c'est que vos amis vous le avez en dehors de ce village, ou la grosse bouteille familiale, à une époque, essayais de concurencer le clocher de l'église. La suite.. 24/06/03 Je me suis tellement enfoncé que la situation dans laquelle je suis, que je fait peur. Si consciemment beaucoup de femme disent ne pas spécialement rechercher chez un homme la sécurité financière, je suis persuadé que inconsciemment, c'est tout autre chose. Et c'est même très logique. La plupart des femme que j'ai l'occasion de croiser, ont toutes un vécu, ont eu chacune a leur manière leurs galères. Certaines mêmes, après un divorce ont du apprendre a gérer elles mêmes leurs ménage, alors que précédemment, c'était leurs conjoints qui s'en occupait. Quelle estime peuvent elles avoir d'un homme comme moi qui passe son temps a se demander comment joindre les deux bouts? A certaines périodes.... de plus en plus rares, j'ai un peu de liquidité qui me permet de sortir, de rencontrer. Mais quand je rencontre qcq les difficultés que j'ai très rapidement à suivre financièrement, font que je pense inconsciemment saboter la relation. C'est parfois tellement rassurant de se dire... "oui je rame, mais seul, je ne fait de tort qu'a moi!" Autre chose, je me dis parfois que quelque part, je me suis tellement enfoncé dans mes habitudes de célibataire, que j'aurais peut être difficile de vivre avec quelqu’un...Encore une raison supplémentaire de me saboter dans les finances pour me saboter dans les relations ou l'inverse? Une chose est sûr. Je dois oublier toutes ces réflexions (ou les mettre provisoirement de coté) et foncer pour rétablir un semblant de situation économiquement viable. Fin septembre. Je reprend ici cette lettre que j'ai laissé de coté pendant un long moment. Et les vacances n'en sont pas la causes. ( C'est quoi déja des vacances ? ) Je viens de relire ces lignes que j'ai écrit fin juin, il y a trois mois déja. Pas mal de choses se sont passée pendant ce laps de temps. J'ai fait comme j'ai dit, je me suis concentré sur le travail, en essayant d'améliorer ma situation, et, si dans les chiffres on ne voit encore aucun résultat, j'ai mis en place des éléments qui me laissent espérer. Bref je n'ai pas chomé. Bien sur il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, mais là, j'ai de plus en plus souvent l'impression de l'avoir dans mon viseur. Les circonstances ces dernières semaines m'ont amenée a passser quelques jours chez une amie, et je me suis rendu compte a cette occasion, que si j'apprécie parfois la solitude, j'apprécie encore plus de pouvoir partager. Moi qui pensait que j'aurais peur de vivre avec quelqu'un, ce n'est pas vraiment le cas. Tant mieux. Décidément, le mois d'aout est propice aux remises en question quand a la place que j'avais dans ma famille. Il y a 3 ans, a cette époque, cela m'avais amené a comprendre pourquoi c'étais bon que je sois loin de chez moi. Cette année, dans le cadre de circonstances très difficiles sur lesquelles je ne m'étendrai pas, j'ai encore réalisé d'autres choses. Chacun a un rôle dans une famille, et je pense que le mien a souvent été d'être un paratonnerre. Envoyez moi trois ans a l'étranger, et l'équilibre de la famille s'en trouve terriblement perturbé. Ramenez moi par surprise dans cette cellule ..... et bonjour l'orage. D'ici quelques jours, je vous parlerai du prix de l'amitié. 04 03 2004 oufti !! je n'ai plus rien écrit ici depuis juin? .. faut que je vérifie demain... Il s'est passé tellement de chose depuis juin... des choses qui m'ont tellement fait mal et secoué.... Je ne comprend pas que je n'aie pas écrit depuis ici. Depuis juin... il y a eu Aout.... ma rentrée en belgique en stop.... sans prévenir et la suite. Pas triste? pire que ca !! Dans un contexte.... compliqué .. difficile d'extirper la réel souffrance de l'alibi,.... que je profite de la piscine de mes parents cet été ... (dernière stat depuis 6 ans je profite de cette piscine 1 fois tout les deux ans.) .. a fait pêter un cable a mon beauf et à ma plus jeune soeur. Ce que peut de gens savent.... c'est que pour y rentrer dans cette piscine... (je voulais vraiment y rentrer pour faire plaisir a mes enfants..) donc pour y rentrer, .. j'ai pris un bain d'une heure.... avec plein d'huile pour m'hydrater la peau.. Et alors... bonjour la réception.. Autre chose .... le contexte dans lequel je suis rentré en ce mois d'aout..... (début aout) .... Je n'étais pas bien.... même plus de quoi me payer un paquet de café...et je ne suis pas rentré chez mes parents par intéret.... je souhaitait juste une oasis dans le désert que je traversais. Et quel désert ... 40 ° chez moi a ce moment a Stras. Je vais continuer...demain.. parler de mon père... qui n'a jamais l'air de rien.... tout en percevant énormément de chose. Je vais relire demain.... je n'avais pas vu ce soir que j'avais écrit fin septembre. A digérer... sourire. Ajouté le 06 03 2005 Ben me voila revenu en Belgique, depuis plusieurs mois. Alors que la motivation principale à mon retour était la possibilité de vous voir plus souvent, je me retrouve encore un fois coincé financièrement et contextuellement. Depuis deux mois, je suis indésirable chez mes parents. Ces samedis avec vous que j'aurai pu passer chez eux sont évidement plus que compromis. Je pensais aussi pouvoir vous accueillir chez moi plus souvent, mais les rares moments où mes finances vont mieux coïncident rarement avec ceux ou vous êtes disponibles et avez envie de venir. J'en suis toujours à me demander si je ne me sabote pas, si inconsciemment je ne me mets pas dans cette situation financière et nerveuse a la limite de la rupture. J'ai été revoir la psy que je voyais avant de partir en alsace. J'avais besoin de démonter ce schéma dans lequel j'ai toujours l'impression de me retrouver. Mais je suis déçu, j'ai l'impression qu'elle se base sur ses notes vielles de 5 ans et qu'elle ne voit pas la personne que je suis devenu depuis. Mieux que cela, quand je lui parle d'un jeu que j'ai développé pour internet, elle ne retient que le mot jeu... et en conclu que j'ai le complexe de Peter Pan. Alors que si mes yeux pétillent quand je parle de ce jeu, c'est de la fierté d'avoir réussi à le programmer. 75 euros, c'est ce qu'elle me coûte pour une heure. Je mange plus d'une semaine pour ce budget là. Si j'avais vraiment l'impression d'avancer, je serai presque prêt à payer plus cher, mais là, je ressens cela comme un gros gâchis. Une des raisons de mon retour, est aussi la solitude que je ressentais en alsace. De ce coté la aussi le bilan est loin d'être positif. Depuis que je suis revenu, j'ai plus souvent vu une amie qui habite l'alsace, que la plupart de ces gens qui se disent mes amis. Petit passage a vide, un déménagement la semaine dernière, dans l'urgence de la pression mise par la personne précédente à qui je louais. Du gris depuis une semaine, pas les moyens de sortir boire un verre. Tout ça n'est pas très bon pour le moral. Journal intime. le douaisien ma vie
Journal intime. le douaisien ma vie
je suis douaisien, né a douai dans le nord de la france,en 1957 mes parents n'etaient pas riche mon pére etait mineur et travaillé dans les champs ainsi que ma mére pour avoir un peut d'argent,j'ais trois fréres,moi je suis le cadet,en etant petits nous n'avions pas de jouets mes parents n'avaient pas les moyens de nous en acheté ,mais nous n'etions pas malheureux pour ca,les jouets mon pere les fabriqués ,nous etions heureux ont s'amusés dans les patures ou dans le petit bois du village qui se trouvé entre douai et cambrai. Amour alaplix Bisou, hibou, genou
Pour ma Claire: Un p’tit bisou Au bas du cou En haut du genou Pour un p’tit sou. Mais c’est pas tout Un p’tit coucou Avec un caillou Porté par un hibou. Mais si un sapajou Te cherche des poux Je ferai le loup Et le jetterai au trou. Coup de g.. alaplix Les parasites de nos émotions
Certains jours je voudrai être vraiment quelqu’un d’autre. Quelqu’un avec moins de rêves et plus les pieds par terre. Quelqu’un de posé avec moins d’émotions. Au lieu de ça j’ai hérité d’un trop plein d’émotions qui me donnent parfois des attitudes qui peuvent sembler bizarres. Je me dis que certains artistes fous devaient avoir encore plus d’émotions que ce que j’ai car ils ont fini par exploser ou imploser. Je me dis que peut-être un jour je finirai par imploser sous le poids de mes émotions. Ce jour là je ne verrai plus le monde, je ne verrai plus que mes rêves et mes émotions. Je ne pourrai plus revenir les pieds sur terre alors j’imploserai ! J’imploserai loin de la réalité dans mon monde ou seul face à moi je m’annihilerai dans les limbes de mon imagination ou bien je vivrai dans une ultime apothéose l'annihilation de mon imagination dans une implosion de mes rêves. Votre monde ne sera plus alors qu’un souvenir et je pourrai en toute quiétude me fondre dans un incertain ailleurs. Vous appartenez peut-être à une catégorie de personnes bien peu compréhensible pour moi ou le rêve n’a pas d’existence et ou vous vous nourrissez du rêve des autres à travers leurs écrits ou leurs chansons. Si vous appartenez à cette catégorie, je vous considère comme des parasites incapables du courage de votre imagination ou trop fier pour pouvoir laisser vos rêves une fois de temps en temps prendre le dessus. Je vous hais d’être ces parasites sans états d’âme et de pomper vos émotions à la source des personnes qui vivent leurs rêves. Nous vivons dans deux mondes totalement différents sans commune mesure et vous avez tendance à nous regarder de haut. Vous nous regardez et vous nous considérez, nous les rêveurs, comme des parasites de votre société. Alors soyez francs pour une fois et reconnaissez que vous êtes des rêveurs refoulés, refusant de changer dans votre société dite civilisée. Au cas ou vous vous reconnaîtriez dans une ou l’autre de ces catégories : rêveurs ou parasites, je vous invite à manifester votre réaction et à exploser votre refus de mon argumentation ou à applaudir devant la réalité de mon écrit. Mes sentiments face à votre état de parasite sont mitigés et je préfère vous ignorer que de vous combattre et vous regarder essayer vainement de nous dominer sous prétexte que vous êtes plus nombreux. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île (2)
Ca m'a remué, c'est le moins que l'on puisse dire. Quand tu es passé me dire que tu partais, que tu quittais l'alsace et ton mari, j'ai mis plusieurs jours a digérer. Comme quand on se pince chez le dentiste pour oublier la fraise, parfois, on prèfère se faire mal pour oublier une douleur sentimentale. Est ce le résultat de toute cette éducation? Quel temps passé à s'entendre rabacher : il faut souffir pour être beau, on n'a rien sans peine, on ne recoit que ce que l'on mérite. Bètise que tout cela. Mais ce qui peut être m'a fait si mal, en dehors du fait que je voyais partir une amie, c'est aussi revivre ce que j'avais déja vécu. J'ai du moi aussi me rendre à l'évidence, la femme que j'aimais me démolissait. Et la seule issue à ma survie était la fuite. Même si je ne suis pas sur que tu aies choisi la bonne solution, le pire que je te souhaite, est de retrouver le chemin qui te même a toi même. Amour La tête sur les épaules Pour la dame qui va vers l'île....
Je viens de cocher le thème et je viens en même temps de me rendre compte qu'il manque au moins un thème qui serait "tendresse" ? Tu vas vers l'île .... mais cela fait déja deux fois que cela correspond a un dessin que j'ai fait un jour. Tu y vas .... mais tu mets du temps pour y arriver et ??? tu es loin de t'y établir???? Mais bon tout cela n'est que de la dialectique. Et si? ET si! Et si tu m'avais demandé de te suivre (hypothèse.... cela n'aurait pu se présenter que tu me le demande) .... Je ne sais même pas pas quelle aurait pu être ma réponse. ... je vais écrire autre chose demain... Et pour le thème .... de toute facon ... zut ... tu sais bien que j'ai plus que de la tendresse pour toi. A + Humour Menfin Cette nuit.
Cette nuit j'ai tellement rêvé de soleil de vacances de plage de cocotiers, que ce matin j'avais bronzé. Cette nuit j'ai tellement rêvé de jolies filles que ce matin il y avait des préservatifs utilisés a coté de mon lit. Cette nuit j'ai tellement rêvé de fêtes que ce matin j'avais la gueule de bois. Cette nuit j'ai tellement rêvé de chocolat que ce matin j'avais une crise de foie. Cette nuit j'ai tellement rêvé de marche a pied que ce matin j'avais des ampoules aux talons. Amour Perdu en Alsace La lettre de N'amour?
Lettre de N'amour. Cette lettre est imaginaire.... mais c'est ce que n'amour aurais pu me répondre.. 3 ans après la lettre a N'amour. Stéphane, J'ai peur de mon ombre. Je marche dans la rue, je m'arrête, je suis immobile et je regarde mon ombre. Je ne bouge pas un cil, mais mon ombre a bougé. Il es est là, j'esn suis sûr, il me traque encore.Il me suit comme mon ombre, (mon hombre qu'il n'est plus !!???) pas à pas, geste après geste. je suis sûr qu'il se cache derrière mon ombre. Il m'épies, il enregistre tout mes faits et gestes. Ce futur ex mari... est encore trop envahissant. Il me fait peur... très peur... pour mes enfants...."nos" enfants !! J'ai peur tellement peur. Il veut me faire craquer, me faire passer pour folle!! Tout lui est bon pour garder son ascendance sur moi, pour qu'il puisse continuer a penser que je suis sa chose son objet, que je lui appartient. Il ne veut pas que je lui échappe. C'est lui qui a tout faux!! C'est lui qui a fait le con!! Et c'est moi qui devrais payer? On avais commencé a construire un avenir ensemble... il veut tout garder pour lui. Il me ferait passer pour folle, il me tuerais, il m'enterrearais....pour 5 euros..... ou pour savoir ou sa "chose" est en permanence...? 'Nos' enfants.... il s'en sert. Si la star ac des maitres chanteurs existait, ca fait longtemps qu'il en serait sorti premier de sa promotion. Je sais, j'en suis devenue parnao.... et je nai plus eu la faculté de discerner les vraies amitiés. Je n'ai plus d'amis ici, les seuls que j'ai je vais les chercher loin, hors de l'influence qu'il pourrait avoir. Tu venais de loin stéphane, et la c'étais rassurant, mais tu es devenu trop proche.Tu es venu habiter trop près. Quand tu es venu habiter près de chez moi, j'ai eu peur. Quand en plus, par ton métier, par tes obligation proffessionnelles, tu as été obligé de cotoyer ma famille par mariage... cette peur qui me tenaille.... a été plus forte que ce que je ressent pour toi. J'ai sacrifié l'amitié que j'aurais voulu, pu avoir pour toi. J'avais trop peur. Trop peur que par moi.. celui qui est dans mon ombre n'ai un moyen de pression, un moyen...de m'écraser. Je suis désolée stéphane. Ma peur me gouverne. Elle est comme un feu qui me brule, allimentée en permanence par cette ombre qui me suit et me terrifie. Carnet de route. alaplix
Autres. Peach Imaginez...
Imaginer un peu...Qu'il existe un être supérieur a nous dans le monde, bien sur il y a dieu...mais autre que lui. Une Créature de taille, beaucoup plus forte que nous.Il ne parlerais pas notre language.Nous serions tous placez dans un centre de sécuriter pour notre espèce.Nous serions en cage.Si nous somme de beau petits bébés sa sera facile de nous vendre.Si nous somme Vieux et que nous avons moin de charme qu'un jeune on se fait tuer.Injuste..?Sa oui! Nos maitres pourrais bien etre super sympathique ou super méchant.Vous auriez une ve parfaite, Nouriture chaque jour, amour, soin , ect...ou aussi bien avoir une vie de maltraité, personne de votre famille de vous aime, manque de nouriture et de soin et chaque coche mal taillier vous seriez sévèrement puni. Pensés-y!! chow jmen vais faire ma brasser de blanc ^_- ---------------------------------- je me suis inspirer de la vie des chats...^__^ (Non, Non je suis pas folle ^_^) Carnet de route. alaplix Le château d’Haïko
Haïko est de retour dans son appartement pour constater que le soleil a tout envahi : de la chambre au séjour, de la cuisine à la salle de bain, du téléphone à la prise de courant qui ne court plus le long du mur. L’envahisseur lui laisse à peine entrouvrir la porte pour constater que le soleil a pris possession de sa possession le dépossédant de son possessif. Haïko est d’accord avec le soleil, il laisse son appartement au soleil qui en contre partie illuminera sa future demeure. C’est décidé Haïko va construire son château. Au milieu de son domaine son fier palais s’élèvera au milieu de l’été. Entouré de murs inexistants, il aura ses oubliettes pour y jeter tous ses mauvais souvenirs dans les entrailles de la Terre. Mais il aura aussi ses cachots sombres pour y enfermer ses idées noires et les y abandonner au pain sec et à l’eau. Haïko aura le droit de vie et de mort sur tous les concepts de passage. Ainsi à ceux qui le méritent, il délivrera contre un bon mot ou un bon rire, voire une bonne humeur un certificat de vie. Par contre, il exécutera les autres. Une guillotine trônera au centre du douzième coin de la cour : le coin rouge du château. Un ou une bourreau officiera de façon propre et nette. Un bourreau des têtes et pas des cœurs pour étêter ces quelques concepts mal instaurés. Il condamnera ainsi la justice à être vidé de son sang pour l’avoir vidé de son pécule, l’administration pour avoir exécuter sans état d’âme la sentence de la justice contente du travail accompli en acculant le petit au désespoir tout en faisant preuve de clémence aux grands de notre monde (qui n’est toujours pas celui d’Haïko). Il condamnera la religion coupable d’avoir prêché sa vie durant la culpabilité et la souffrance en proclamant que le bonheur n’est pas de notre monde alors qu’il l’est dans le monde d’Haïko. Mais il y aura aussi des tours agencées avec dans chacune la pièce des bons souvenirs et des rêves. Y aura-t-il beaucoup de tours? Il ne sait pas encore une, deux, cent ou deux cents qui sait ? Il verra au fil du temps. En haut des tours ses souvenirs éclaireront la voie lactée d’une lumière bleutée et ses rêves cascaderont dans la cour centrale de notes cristallines et de rires d’enfants. Ces tours seront surmontées de mats pour y déployer les plus beaux sourires affichés sur des drapeaux de soie. Dans un coin de la cour, un puit servira au rafraîchissement des idées en puisant du positif qu’il pourra utiliser pour rincer la beauté. Dans le deuxième coin de la cour une source coulera d’abondance pour abreuver la soif de savoir d’Haïko. Dans le troisième coin Haïko y mettra ses écuries pour garder à l’abris ses magnifiques ypocampes. Il pourra ainsi chevaucher à dos d’yppo son domaine. Dans le quatrième coin Haïko y mettra ses montagnes qu’il aime tant pour pouvoir escalader les plus hauts sommets à la recherche de la liberté. Dans le cinquième coin Haïko y déposera la mer pour y retrouver le calme et la fureur des tempêtes. Il ne m’a pas dit ce qu’il mettra dans le sixième et septième coin, mais le huitième est réservé à la douceur et à l’affection de sa rivière d’émeraudes. Je sais ce qu’il y aura dans le coin rouge mais après il ne m’a pas dit. Il y aura encore beaucoup de choses dans son château, mais le plus extraordinaire sera l’arc-en-ciel au centre de la cour qui brillera sous la lune et sous le soleil, en été et en hivers, de nuit comme de jour, de haut comme de bas. Un arc-en-ciel pour se promener le long des couleurs de la vie. Alors un jour, peut-être verras-tu le château d’Haïko. Si tu le reconnais va donc le voir sans crainte car pour un bon trait, un sourire ou un rire tu seras toujours la ou le bienvenu. Lisez moi ! Mimi Recette exceptionnelle
Sa bouche arrondie, aux lèvres rouges, soufflait un tel "Oh" enthousiaste que je sus à ce moment que quelque chose d'irréversible se produisait. Le "Oh" se prolongeait agréablement. Les prunelles de la femme brillaient comme scintillent celles d'un chat. L'odeur de lavande, qui émanait d'elle, m'était agréable. Je restai près d'elle, l'unique cliente de ce samedi midi. Sur la première cuiller à dégustation, un modeste morceau de foie gras d'oie assorti d'un peu de confiture de figue. Elle avait savouré longuement la première bouchée, comme d'autres le font avec un morceau de chocolat. Puis elle avait émis ce "Oh", porteur d'une admiration sans bornes. Ensuite, elle avait entamé la portion restante, les yeux mi-clos, la main suspendue pareille à une fleur. Cela avait duré plus d'une minute. J'étais demeuré immobile. Elle était restée muette, semblant somnoler. Doucement elle avait pris le verre contenant le muscat australien, avait fait tournoyer le vin, admiré les larmes accrochées sur la paroi, humé les senteurs fruitées avant de goûter la boisson. "Superbe". Le mot m'avait éclaboussé jusqu'au plus profond de mon être. Déjà au téléphone, je m'étais laissé séduire par la voix. La voix m'avait enveloppé de ses ocres. La voix m'avait fait fléchir. J'avais ouvert mon restaurant pour cet unique couvert. La voix n'avait pas de prix. Quand elle était entrée quelques minutes plus tôt, elle avait juste prononcé : "Je vous fais confiance pour le menu et pour les vins". Ce fut comme un chant, une voix de cristal gravée à tout jamais en moi. Des frissons me parcoururent le corps. Les larmes me gagnèrent lorsqu'elle reposa le verre. Mon cœur battait la chamade. Mes jambes se dérobaient tandis que j'ébauchai un pas. Elle semblait en prière. Du bout de la fourchette, elle prit un fragment du carpaccio de thon agrémenté de parmesan. J'observai ses cils qui se touchaient presque. Je remarquai le frémissement de ses narines. J'attendis un son. Je vis son front qui se déridait, ses joues qui rosissaient. Un murmure dans lequel se détachèrent quatre syllabes vint enfin me combler : "Pur et simple". Elle essuya ses lèvres sur la serviette blanche. Elle dégusta de nouveau une gorgée de mon somptueux muscat. Elle ferma les yeux tandis qu'elle déglutissait avec ce que j'interprétai être de la volupté. Sa bouche à peine entrouverte, son menton tremblotant étaient à coup sûr, selon moi, des indices d'un plaisir intense. Déjà, je me laissai aller à imaginer comment elle se délecterait de mon cappuccino de homard, crémeux, rosé, onctueux, au parfum plus subtil qu'une herbe de paradis. Cependant, quand elle eut rouvert les yeux, elle approcha l'index du coquetier contenant le cappuccino, l'effleura du bout du doigt et fit une longue pause avant de prendre la petite cuillère et de l'y plonger. Mon pouls s'accéléra. Je restai à l'ombre d'un verdict caressant, d'une appréciation plus douce que celle de trois étoiles dans un guide gastronomique. "Sublime." A chaque cuillerée, le verdict rebondissait comme une vocalise. "Su-bli-me." Rentré en cuisine, je m'assis, juste pour faire infuser les "Sublime", juste pour être certain que je ne rêvais pas. "En ce temps-là, Ce que fera pousser le Seigneur sera l'ornement et la gloire Et le fruit de la terre sera l'orgueil et la parure Des rescapés d'Israël." (Isaïe 4 versets 2) ---------- J'émiettais machinalement cent cinquante grammes de levure dans un grand saladier en inox tandis que je me demandais comment j'allais aromatiser mes petits pains. Certes, elle était friande des touches de basilic, de tomates, d'estragon ou d'olives mais je voulais l'éblouir par une note si personnelle qu'elle en aurait une de ces exclamations qui étaient devenues indispensables à mon bien être. Un peu de cumin, des raisins, des noix, du sésame, du fromage, de l'origan, tout cela me paraissait terriblement conventionnel. Finalement, tandis que je mélangeai la levure avec l'eau tiède, je me résolus à me concentrer plutôt sur une fabuleuse entrée. Qui des coquilles Saint-Jacques ou des moules allait remporter ses suffrages? Qui du saumon ou de la sole? C'est ainsi que j'en vins à préparer des mousses, l'une au cresson, l'autre à la ciboulette, la troisième à l'avocat. Et que me vinrent des idées qui me donnaient l'eau à la bouche. Oui, je salivai, je tremblai tandis que s'imposaient à moi des recettes d'autant plus attrayantes qu'elles étaient toutes neuves. Comment jugerait-elle ce buisson de langoustines à la crème d'épinards, ce gâteau de lotte à l'étouffée d'endives ou cette fricassée de crabes aux copeaux de poivrons doux ? Je me lançai donc dans la préparation d'un feuilleté de poissons accompagné d'un ragoût d'asperges et d'un petit flan aux herbes. Une heure après, je fus plus que récompensé de mes efforts. "Ma-gi-que." Elle répétait ce mot pareil à une incantation. Elle fixait l'assiette où elle venait de soustraire avec sa fourchette un morceau du ragoût et un soupçon du flan, comme d'autres considèrent le Saint Sacrement. Ainsi, je l'avais portée à une sorte d'état de méditation. Grâce à moi, elle atteignait l'extase. J'en éprouvai non point de la fierté, mais un sentiment d'euphorie. Je respirais amplement. Mon corps ne pesait pas plus que celui d'un insecte. J'étais entièrement détendu. Pour la première fois de ma vie, je voyais au-delà des choses. En communiant avec elle, je communiais avec l'univers tout entier. Je louai les arbres, les fleurs, les océans, les rivières pour ces saveurs qui rassemblent les hommes. "Donnez la boisson forte à celui qui défaille, Et le vin à celui qui a l'amertume au cœur : Qu'il boive et il oubliera sa misère, Il ne se souviendra plus de ses chagrins." (Proverbes septième partie 31-6 et 7) ---------- J'avais accepté le banquet réservé par un client important pour ce samedi midi de juin. Ainsi nous ne serions pas seuls. Il y aurait d'autres consommateurs qu'elle. Il y aurait mes trois commis de cuisine, mon serveur et mon maître d'hôtel. J'avais pris une espèce de risque mais il était bien calculé. Je lui préparai une table dehors, sous un parasol, près de la pièce d'eau et de la pelouse. Elle ne serait pas importunée par les bruits. Quant aux invités du banquet, ils se trouveraient à l'intérieur. Ce matin-là, j'éminçai ma nervosité, je me panai de sérénité, je me fis mariner dans la détente et braiser dans la douceur. Je préparai des petits pains à l'échalote, au fenouil, à la sauge, à l'anis. Avec mes commis, je confectionnai des cakes aux olives noires et aux oignons, un velouté glacé aux asperges, une effilochée de merlan au vin rouge, une estouffade d'agneau aux tomates, un mille-feuille au Herve doux puis un soufflé aux cerises et des crèmes brûlées à la liqueur d'amandes. Je misai sur un Anjou rouge, un vin jeune et léger. Je mettais en jeu ma réputation. Pour gagner quelques milliers de francs, je jouais à quitte ou double, j'allais à l'aventure. A treize heures, j'avais chaud. Mes muscles étaient tendus. Ma tête était brûlante, mon ventre me faisait souffrir. Pourtant, au fil des heures, je retrouvai mon calme. Mes gestes redevinrent aussi souples que lorsque je me trouvais seul face à mes fourneaux. Je pris mes dispositions pour aller régulièrement la servir ou la desservir, tout en ne négligeant pas l'autre clientèle, celle qui m'était fidèle depuis le début. Vers seize heures, elle me fit appeler. Elle me pria de m'asseoir un instant près d'elle et me confia des sanglots dans la voix : "Vous êtes un véritable chef d'orchestre." Elle prit ma main dans la sienne et nous demeurâmes quelques minutes à écouter le bruissement des feuilles, le gazouillis de moineaux, le flux lointain des conversations. Son parfum de lavande embaumait délicieusement l'air. "Il fit pleuvoir sur eux la nourriture de la manne Et leur donna le blé du ciel." (Psaume 77 versets 24 et 25) ---------- Que faire flamber, gratiner, rissoler, griller pour lui plaire ? Quels aromates, quelles épices saupoudrer ? Quel vin fruité, épicé ou floral lui proposer ? Face à elle, j'étais à présent pris de court. Alors, je décidai que j'improviserais en sa présence, que je laisserais venir ce qui viendrait, que je serais porté par la vague qui m'approcherait. L'inattendu vint à ma rencontre. Elle m'offrit un cadeau, un ouvrage de Gaston Clément à couverture jaune et un carnet où étaient répertoriées quantité de recettes. Elle posa un baiser sur ma joue. Puis elle me demanda de lui préparer une mousse de crevettes grises sur un avocat. C'était sa première requête. J'y répondis avec plaisir. Sa deuxième requête fut une crème glacée à la cannelle. Je fus ce jour-là dans l'impossibilité de la satisfaire. Je me souvenais à peine avoir déjà réalisé un tel dessert. C'est ainsi que je découvris qu'elle connaissait mon répertoire de recettes bien mieux que moi-même et que je conçus une certaine méfiance à son égard. Je me reprochai mes débordements impromptus, mes audaces non maîtrisées. Une douleur lancinante se propagea dans ma poitrine. Elle fut suivie de crampes qui peu à peu s'estompèrent. Cela me rappela les malaises que j'endurais durant les périodes d'examen, ceux-là mêmes qui m'avaient contraint à interrompre mes études à Lausanne. Elle avait été un moteur. Elle devenait ma mémoire. Son esprit, sa clairvoyance m'enserraient. "Ils se rassasient de l'abondance de votre maison, Et vous les abreuvez au torrent de vos délices." (Psaume 35 verset 9) ---------- Début septembre, elle m'annonça qu'à partir de novembre, elle viendrait se restaurer chez moi les lundis, mercredis et samedis midis car elle avait décidé de prendre sa retraite anticipée et avait acheté le bungalow qui se trouvait à moins de deux cents mètres. Elle ajouta qu'elle serait particulièrement heureuse de déjeuner, à l'occasion, dans la cuisine. Ma vue se troubla, mon sang se glaça soudain. J'étais pris au piège. J'étais venu m'installer à une centaine de kilomètres de chez mes parents pour échapper au contrôle qu'ils exerçaient sur ma vie. J'étais tombé dans un traquenard tout aussi périlleux. Pourtant, je ne fis pas allusion au fait que le restaurant était habituellement fermé les samedis et lundis midis. Je ne fis pas observer que la cuisine permettrait difficilement d'accueillir un hôte de marque. J'ébauchai un sourire, une grimace amicale, une contraction des muscles du visage. "... Il a fait sucer le miel du roc Et l'huile même de la pierre, La crème de la vache, le lait des brebis Avec la graisse des agneaux,..." (Deutéronome 32 versets 13 et 14) ---------- Un samedi à la mi-octobre, je la surpris qui esquissait dans un calepin un croquis de l'assiette que je lui avais présentée quelques minutes plus tôt. Sous le dessin, j'aperçus divers commentaires écrits. Ma respiration s'emballa alors, ainsi qu'elle l'avait fait lorsque ma mère me confessa des années auparavant avoir lu mon journal intime dans lequel je confiais lui avoir menti. De nouveau, j'avais été espionné, surveillé. Quels secrets allait-elle dévoiler? Quel mystère avait-elle percé? Pour quel concurrent œuvrait-elle peut-être? Les doigts et les pieds me fourmillaient. Je n'arrivais pas à dominer les élancements qui se propageaient dans mon thorax. Son parfum de lavande m'écœurait. A coup sûr, j'étais plus irrité que je ne l'avais jamais été. Mais elle, plus confiante qu'un félin, se contenta de lancer de sa voix claire et fraîche : "De magnifiques idées pour votre futur livre de recettes." "J'ai poussé comme la vigne des fruits à l'odeur suave, Et mes fleurs sont des fruits de gloire et d'abondance." (Ecclésiastique 24 verset 23) --------- Mon second s'était laissé convaincre. Il avait accepté de prendre le relais durant quatre semaines. J'étais parti au Maroc pour des vacances gastronomiques. Je demeurais à l'affût de compositions et de nouveaux secrets culinaires. J'étais loin, pourtant je n'avais point quitté mes marmites, mes terrines, mes tourtières, mes couteaux. J'abondais de projets comme ce couscous aux fruits de mer ou cette pastilla de caille dont aucun détail de préparation ne m'échappait. Malgré tout, je devais m'avouer que je pensais encore à elle. Les jours passant, je me culpabilisais de l'avoir laissé tomber. J'étais un ingrat. "La langue du nouveau-né s'attache à son palais, tant il a soif; Les enfants demandent du pain, Et personne ne leur en donne." (Lamentations Quatrième Elégie verset 4) ---------- Ce mercredi dans l'après-midi, à mon retour, je l'observai longuement. Je retins mon souffle. Elle était occupée dans ma cuisine. Elle pelait un céleri-rave puis le râpait sur le gros côté de la râpe tandis que mon commis faisait mousser du beurre dans une casserole. Elle était appliquée comme une enfant qui colorie. Lorsqu'elle me vit, elle abandonna sa tâche et vint m'embrasser. "Reprenez vite les rennes", fit-elle. En quelques mots, mon employé m'informa de la situation. Elle jouait les petites mains, s'attablait à l'occasion dans la salle à manger pour déguster quelque préparation. La sentence était presque toujours la même quand les clients s'en étaient allés. "Dieu, qu'il revienne apporter sa touche !" Ce fut le lendemain, que je fus mis au courant de son extravagante initiative. Elle avait convié des journalistes de ses amis pour un repas festif au cours duquel je pourrais laisser déferler mes fantaisies. Bien entendu, tout cela serait à ses frais. "On t'a établi roi du festin ? Ne t'en élève pas. Sois au milieu des autres comme l'un d'entre eux." (Ecclésiastique 32 verset 1) ---------- A cet instant, je pressentis que rien n'était changé. En fait, mon escapade n'avait pas inversé le cours des choses. Elle s'incrustait comme la rouille, la mousse, le parasite. Je fulminais, j'étais en boule, je voyais rouge. La guerre était déclarée mais elle n'en sut jamais rien. L'odeur de lavande qu'elle dégageait m'était de plus en plus insupportable. Le mois de mars m'inspira une recette fort particulière alliant saumon sauvage, citron, câpres, mort aux rats et purée de pommes de terre à l'huile d'olive. Elle dégusta. Elle jugea cela "divin, superbe, juste un tantinet trop aigrelet". Les derniers clients partis, le personnel termina son travail et nous laissa en tête-à-tête… A présent, je suis réputé pour mon petit pâté de viandes fines à la lavande. Quiconque en déguste est conquis ! Mais je vois déjà se tarir ma source d'approvisionnement ! "Qui garde sa bouche garde sa vie. Qui ouvre trop ses lèvres se perd." (proverbes 13 verset 3) ---------- Star Academy Menfin Les santons.
Chaque nouvelle rentrée amène son lot de nouveautés. Le dictionnaire acceuille de nouveaux mots.... et la provence crée de nouveaux santons. Cette année on pourra remarquer un succès particulier pour le santon Pyromane, le santon Pilote de canadair, et le santon Commandant de pompiers. Mais à quand un santon étudiant à l'académie des stars? Ca ferait bien en fin d'année devant la crêche du chateau, non? Star Academy le webmaster Nouveau !!!
Un nouveau thème a été créé ce jour : Star Académy... Que vous aimiez ou pas... ce thème est fait pour vous. ! Star Academy Menfin C'est la rentrée....
C'est la rentrée... Il suffit pour cela de voire les chaines de télé toujours prompt a devancer l'événement... Quand la rentrée officielle des écoles est le 1 er septembre, TF1 parvient a créer "sa rentrée" celle de l'académie des stars.... 2 jours avant.A quand noel en juillet? C'est pour bientôt !! Journal intime. Calimero Un sentiment
Ce sentiment d'amertume Le soir seul sans personne A chérir, sans personne A aimer. Ce sentiment De ne rien pouvoir faire. Et on sent qu'on va rester seul On sent qu'on ne trouvera jamais Personne. On se cramponne à Des idées : Un jour le grand amour arrivera et là plus jamais On ne se sentira seul, plus jamais Ce sentiment de désespoir, plus jamais Cette mélancolie qui nous colle Et qui s'intensifie à chaque Fois qu'on voit un couple heureux On aimerait être comme eux Mais on est seul, tellement seul, Si seul qu'à des moments on se dit Qu'on aura personne et on a envie De mourrir, on a envie de ne plus Exister, le sentiment de ce sentir petit, si petit que personne ne nous entend. Le pire c'est que personne ne le Sait et personne ne le saura... Amour Calimero Mélancolie
Telle une flamme, mon amour Se consume mais reste toujours Ardent depuis notre rencontre. En moi grandit l'envie de revoir Ton visage qui comme un miroir Reflete les rayons du soleil, me montrant A quel point tu es belle. C'est auprès de toi que je veux rester Et ne jamais plus te quitter Car le temps qui nous a séparé Restera pour moi une éternité. Ce texte je l ai ecris pour une fille que je n ai jamais revu et je me dis que peut etre elle le trouvera un jour, Ici... Humour C quoi ce cirque? Les belges et les voitures.
5 copains arrivent à la douane belge à bord d'une Audi Quattro. Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le douanier etle conducteur. Le douanier (très sérieux) : Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors 1 de vous doit sortir de la voiture. Le conducteur (étonné et légèrement moqueur): Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre de places assises, nous avons le droit d'être 5 occupants. Le douanier : Pas question, dans une Audi QUATTRO, vous ne pouvez être que 4 occupants. L'un de vous doit descendre de voiture, je ne vous laisse pas passer. Le conducteur, qui commence à s'énerver : Je vous dis que le terme Quattro a un rapport avec la traction sur les 4 roues. Ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants ! Le douanier, toujours imperturbable : Pas question, on ne passe pas tant que l'un de vous ne soit pas descendu de votre Audi Quattro ! Le conducteur (excédé) : Maintenant, c'est terminé la plaisanterie. Vous êtes un incapable. Je ne veux plus vous parler, appelez votre chef, que je puisse régler le cas directement avec lui ! Le douanier : Désolé, ce n'est pas possible. Il est occupé pour l'instant avec 2 connards dans une Fiat " UNO ". Carnet de route. alaplix Haïko ! Haïko et Cléa
Avec un soleil dans la tête, et à la place des yeux deux planètes, Haïko ne vit que dans l’infini du temps et de l’espace. Il n’est pas de ce monde trop compliqué qui ne lui donne pas l’éternité de ses pensées. En ce matin ensoleillé, Haïko se lève comme tous les matins à la recherche de la liberté : liberté des sentiments, liberté de la vie. Comme chaque matin le soleil entre dans la chambre d’Haïko. Il entre par la fenêtre, car la porte est fermée, mais c’est le soleil et le soleil est toujours le bienvenu. Les rayons du soleil remontent le long du parquet et des murs à l’assaut des moindres recoins de sa chambre. Haïko se vêt rapidement d’une chemise de lune et d’un pantalon lacté. Il saute dans ses chaussures de lumière et sort par le trou de la serrure. Dans la rue Haïko suit les portées musicales et danse de notes en notes pour trouver la clef du bonheur entre le sol et le la. Le soleil le pousse gentiment et il fredonne cet air qui le fait frémir depuis si longtemps : Si je savais parler d’amour, J’inventerai chaque jour Une émotion, un sentiment A partager pour un moment… Au croisement des chemins, Haïko tombe sur Cléa. Oh ! Il ne tombe pas de haut mais il tombe suffisamment pour la voir. Cléa se sent bien près de Haïko. Haïko voudrait être libre et le dire à Cléa. Mais la liberté, qui la connaît ? Haïko voudrait parfois être fou comme le fou de bassan qui connaît la liberté de la folie qu’il peut exprimer en volant au-dessus de la baie. Haïko rit de voir dans les yeux de Cléa le sourire de l’infini. Haïko pleure de voir l’infini profondeur de la voie lactée dans les fossettes de Cléa. Haïko enlace Cléa dans ses idées multicolores pour partager ses émotions et essayer de trouver un brin de tendresse comme un brin de muguet au mois de septembre. La difficulté ne réside plus dans la découverte des notes du soleil mais dans l’acceptation de la différence des rythmes dans les cheveux de Cléa. Haïko et Cléa s’enfuient sur une double croche pour trouver et partager une idée de la liberté. En route pour le parc, Haïko et Cléa voient au loin une poussière d’espoir qui vrille dans un rayon de soleil. Quoi de plus naturel pour eux de s’approcher et d’entamer le dialogue ! « Bonjour » dit Haïko. « Bonjour Haïko, Bonjour Cléa » répondit la poussière. « Comment nous connais-tu ? » demanda Cléa intriguée. « Il se trouve que Haïko que je connais depuis longtemps me parle souvent de toi. Il semble que Haïkio tienne beaucoup à toi », répondit la poussière. La conversation se poursuit quelques instant jusqu’au moment ou une brise emporte la poussière vers d’autres horizons. Sur un do majeur, Haïko entraîne Cléa dans une farandole au bout luisant de la nuit. Il n’y a plus de secret sous la terre et Haïko ne voit plus qu’une explosion d’affection sur la toile étoilée du ciel. Haïko rentre chez lui au point du jour, au moment ou la nuit et le jour se rencontrent dans un regard tendre. Pour ne pas marcher trop longtemps Haïko prend un taxiphone et voyage quelques secondes sur la ligne pour rentrer chez lui par la prise de téléphone. Le soleil a fini d’envahir sa chambre et se prélasse paresseusement sur sa couche. Haïko doit le pousser gentiment pour pouvoir s’allonger, rêver qu’il se réveille pour aller travailler dans notre monde qui n’est pas le sien. Cette histoire n’a rien d’extraordinaire, mais elle est véridique puisque Haïko ma l’a raconté hier, ici même ou le soleil ne se couche jamais et ou les larmes coulent sans brûler. Coup de blues. La tête sur les épaules Une pierre sur la route.
Un jour sur mon chemin habituel, il y avais une petite pierre sur ma route. Ce jour la, je m'en allais le coeur léger, une douce demoiselle occupais mes pensées, et je ne l'ai même pas vue.... cette petite pierre sur ma route. Le lendemain sur le même chemin, la pierre était enocore la, et perdu dans mes pensées, j'ai buté dessus. Le surlendemain.... la pierre était toujours la, j'ai encore buté dessus, et je l'ai vraiment remarquée. Un jour plus tard... en prenant le chemin, la pierre occupais mes pensées avant même que je ne l'appercoive. La douce demoiselles de mes pensées était effacée. La pierre occupais mon esprit. Et je pris bien soin de ne pas buter dessus quand je l'appercu. Le jour suivant.. la pierre occupais tellement mes pensées, que quand je l'ai appercue, elle m'a paru énorme, insurmontable, incontournable. Elle parraissait me bloquer le passage. J'ai pensé faire demi tour... puis non, je me suis allongé, je me suis endormi. J'ai rêvé.. de minuscules fourmis... qui transportaient des charges faisant 10 fois leur poids. A mon réveil la pierre n'avais pas changé... sauf dans mon esprit, elle avait repris une taille normale, et d'un coup de pied je l'ai envoyée sur le bord du chemin. Les pierres ne changent pas de taille, les problèmes non plus, c'est la facon dont on les laisses envahir notre esprit qui leurs donnent du poids ou pas... Amour alaplix La plume de ses rêves
J’ai volé d’un oiseau la plume Pour parer mon plus beau costume De la couleur bleutée du vent Qui souffle dans ses sentiments ! J’ai volé un rai de soleil Pour faire à la lune un clin d’œil Qui aura le goût de mes nuits, Qui aura le goût de ses nuits ! J’ai volé un brin d’arc-en-ciel, Pour sertir d’une nuance de miel Tous les rêves qui peuplent ma vie, Tous ses désirs de féeries ! J’ai volé du lac les reflets, Dans lequel elle se regardait ! Vêtir mon âme de son image, Pour ne voir que son paysage ! Je vois souvent dans mes rêves, Que je vole sans aucune trêve. Et je découvre avec plaisir, Tous ses songes et tous ses désirs ! Autres. alaplix Les fées menthes
C’est au fond de la tour menthe Que je vis les dix fées rentes. J’ouvris la porte bonne heure, Et je bus l’an thé rieur. Une indigestion de saoul rire Qui étouffa tous mes sous pires, Me fit panser aux mots tifs Sur le plat fond radio actif. Les fées de leurre yeux sur mon cœur Etaient tonnant presque mots cœur. Je me sens plein de tant dresse, Avec une certaine malle à dresse. Amour alaplix Graines de rire
Ce matin au lever du soleil un rire cristallin pénétra dans ma chambre, se glissa sous ma couette pour caresser mon cœur. Quel bonheur de vivre ça tous les matins ! Mais comment cela est-il possible puisqu’il n’y a personne dans mon jardin ? Permettez-moi de revenir à ce jour de septembre dernier, il y a 8 mois, pour vous raconter ce qui m’est arrivé. Ce jour-là et comme chaque jour, je traversais le près devant chez moi lorsque je remarquais un flacon de cristal couché dans l’herbe. Dedans se trouvaient trois graines d’une espèce que je ne connaissais pas. Rentré à la maison, je plantais une des graines dans un peu de bonne terre que j’arrosais régulièrement. Pendant l’hivers rien ne se passa, mais il y a trois mois une pousse est sortie de terre. Oh ! Pas grand chose, mais juste une petite branche avec deux minuscules feuilles bleues au bout. Et puis tout est allé très vite, la branche a grandi, les feuilles ont grossi jusqu’à ce jour merveilleux du 21 mai ou un bouton est apparu. Il était transparent et son cœur crépitait. Tel un prisme il filtrait la lumière et la décomposait pour me donner un éclairage multicolore. Quelques jours plus tard, au beau milieu de la nuit, sous les étoiles, la fleur a explosé d’un premier rire timide, Et puis heure après heure elle s’est épanouie. Aujourd’hui elle est belle, grande, elle respire le soleil. Elle a l’odeur des étoiles, la couleur du vent, la forme d’un nuage. Mais surtout, je lui ai appris à rire. Alors chaque matin elle me réveille de son rire cristallin, je m’occupe d’elle. Je la nourris de soleil elle me réchauffe le cœur. Aujourd’hui il me reste deux graines dans le flacon. La première graine je la jetterai dans le vent afin qu’elle aille pousser ou bon lui semblera et peut-être égayer la vie de quelqu’un, quelque part. La dernière graine, je la garde. Je ne la garde pas pour moi mais plutôt pour en faire profiter une fleur que j’aurai rencontrée au hasard de ma vie et qui aura la même couleur que mon rire matinal. Autres. le webmaster Ca bouge sur Mon Carnet
Y a encore du nouveau !! Depuis ce 26 juin, une fonctionnalité importante a été ajoutée : la possibilité pour les membres connectés de se créer une liste de textes favoris. Le menu générale a été modifié de facon a ce que tout soit accesibles que l'on soit connecté ou pas.... Merci de m'envoyer vos commentaires. Le 22 juin la présentation de Mon Carnet... a changé. Mais les changements ne sont pas qu'apparents. Plusieurs fonctionnalités ont été ou sont en voie d'être ajoutée. Par exmple la possibilité d'afficher les textes les plus lus, un menu spécial membre qui sera (bientôt) agrémenté de le possibilité de créer votre liste de sélection, la possibilité d'envoyer un lien a vos amis pour leurs faire découvrir vos textes. A noter aussi que tout le site à été repensé et remodelé de facon a ce que vous puissiez plus facilement user du bouton 'back' ou 'précédent'. N'hesitez pas a me faire part de vos commentaires concernant le nouvelle présentation. Le Webmaster. Lisez moi ! alaplix L'heure du pingouin
Un pingouin m’a demandé l’heure Il est trois soleils bonheur. Une licorne a vu les étoiles Briller tout au fond de la toile. Un kangourou remplit sa poche De petits morceaux de brioche Pour apporter à la cigale Cet hivers un repas frugale. Etre un Yppocampe dodu Qui rêve d’un monde fondu ! Ouvrir la porte de sa cage Et s’envoler dans les nuages. Tout au fond de ma mémoire Remontent tous mes maux d’espoir. Les rayons bleus de la lune, Irradient mon cœur de fortune. Amour alaplix Le rayon de soleil
Un jour, à mon réveil, un rayon de soleil est entré dans ma chambre. Un ? que dis-je ? Plusieurs ! Un troupeau de rayons de soleil. Ils étaient là, ils broutaient qui, mon tapis oriental qui, ma tapisserie. Ne doutant de rien ils mangeaient, se nourrissaient chez moi, de moi, comme si de rien n’était, comme si je n’étais pas là. Et puis je l’ai vu, ce n’était pas un rayon mais plutôt une lueur. D’une couleur brillante, elle errait sans but sur ma couette. Elle a glissé avec délicatesse sur ma joue et y a déposé une caresse. J’y ai porté ma main mais elle était déjà partie, elle venait de sauter dehors par la fenêtre à la suite de son troupeau qui se sauvait devant un nuage qui obscurcit ma journée. Le matin suivant, le troupeau de retours se pavanait gaiement dans ma chambre. A l’ouverture de mes yeux je cherchais ma lueur, elle était là sur mon fauteuil, elle semblait rêver. Mais une lueur peut-elle rêver ? Je me levais en douceur et m’approchais sans bruit. Je posais ma main sur sa brillance. Elle a dû aimer, puisque du dessous de ma main elle passa dessus et est resta là. Elle ne bougeait pas et je ne bougeais pas. Les rayons alentours s’immobilisèrent dans l’attente d’un événement étonnant. Un humain allait-il tomber amoureux d’une des leurs ? Malheureusement, un nuage gris et menaçant chassa, et les rayons, et ma lueur. Depuis ce jour j’attends son retour. Tous les matins je me lève de bonne heure je m’installe dans mon fauteuil et je passe la journée à espérer son retour. Je ne suis pas pressé, je reste là sans bouger. Je crois que j’aime cette lueur, je l’aime suffisamment pour attendre qu’elle revienne réchauffer ma main. Je ne suis pas exigeant, juste une visite de temps en temps. Je ne lui demande pas la lune, juste de briller un peu chaque jour près de mon cœur. Alors si vous la voyez, dites-lui, dites-lui que je suis là, qu’elle ma vu un matin et que je l’attends. Dites-lui que je l’aime, mais dites-lui doucement, ne lui faites pas peur, je ne veux pas la perdre. Mais si j’ai rêvé tout ça ne me le dites pas, je serais trop déçu et je risquerais de n’y point survivre. Laissez-moi mon rêve même si je suis un peu fou. Alors si elle existe, cherchez-là, et si elle n’existe pas ne gâchez pas mon rêve. Je veux continuer d’aimer. Coup de g.. La tête sur les épaules Perception.... suceptibilité....
C'est trop facile !! Ne pas être bien et en rendre les autres responsables, c'est rassurant, ça évite le remise en question. Ahh les chats.... et leurs manque de nuances !!!! C'est si facile de se fâcher avec quelqu'un, d'interpréter négativement les messages que l'on reçoit! Ne percevoir les choses qu'a travers le filtre de son propre malaise et mieux encore : arriver a culpabiliser celui qui a envoyé ce message, alors même qu'il l'a fait sans arrière pensée. Non, je ne marche plus !! Je ne suis pas responsable du malaise des autres. Humour Menfin TERMINOLOGIES INFORMATIQUES WALLONNES
Ce texte fait partie de ces mails qui circulent sur internet. Je me suis permis de vous le retranscrire in ex tenso... L'est trop bon !!! Les Anglo-saxons sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique: shareware, software, hardware, freeware, netware, etc. Et les wallons, alors, non peut-être ? Nous aussi, fieu, en Wallonie, no avons nos programmes et no n'astons ni peu fiers dès nos définitions. D'ainsi no avons: - un serveur de réseau : in abreuvware - un logiciel très compliqué : in assomware - une procédure de sortie du logiciel: in aurevware - un procédure d'arrêt du système: in éteignware - un logiciel de nettoyage du disque dur: ene baignware - un réseau local d'entreprise: in coulware - la corbeille de Windows : el dépotware - un logiciel de filtration des données: in égoutware - un logiciel de compression des données: in entonware - un logiciel de vote électronique: in isolware - un logiciel de copie : in mirware - un logiciel qui se plante tout le temps: in rastakware - un antivirus : in mouchware - un logiciel de classement des données: in tirware - un logiciel de merde : in suppositware - une salle informatique non climatisée: ene rotisware - un processeur qui chauffe : ene bouillware - une réunion de directrices informatiques: ene réunion Tupperware - un logiciel de demande d'augmentation: in vatferware Amour alaplix La couleur de mes rêves
Je cherche parmi mes rêves la couleur de tes yeux Qui brillent jusqu’au bout de la nuit de tout leur feux. Je voudrais pouvoir ne jamais me réveiller, Et plonger pour me noyer dans ta lumière. Le jour se lève et c’est la lumière du soleil Qui aujourd’hui comme tous les jours, me réveille. Tu es là, je t’embrasse tendrement, tu te lèves. Je trouve dans tes yeux la couleur de mes rêves. .........................................Omnia vincit amor Amour souriretriste à l'homme qui pourra sourire devant ce mot
Tu es inaccessible, sourire, je te plains souvent de tout ce manque de lucidité et en meme temps je te comprends, sourire, tu le sais, ouvres ce coeur que tu as tant de mal à guérir, et oublies ce fantôme qui te hante, je ne veux pas me battre contre elle, trop difficile pour moi, et j'ai juste envie de parvenir à me faire aimer et à t'aimer, comprends que j'ai le temps mais trop de doutes à ce sujets, je reste en suspend devant le temps, et le temps passe. bisous à toi, qui est suspendu dans la galaxie, bisous Coup de blues. alaplix La rage d'un avenir
Se sentir triste et malade, Comme après une engueulade, Une sensation de froid, Jusqu’au bout des doigts. Avoir mal à la tête, Comme au lendemain d’une fête, Ne plus trouver dans son cœur, Que le doute et la peur. Ne plus avoir envie de vivre. Est-ce écrit dans mon livre ? Ne plus avoir d’amour, Est-ce pour toujours ? Regarder le soleil dans les yeux, En espérant se sentir mieux. N’y voir que des points noirs Et n’y sentir que le désespoir. Éteignez les lumières ! Asséchez les rivières ! Videz les océans ! Arrêtez le temps ! Pou avoir enfin le courage, De crier au monde ma rage. Pour avoir un jour le désir, De construire un avenir. Autres. le webmaster Merci
Merci, beaucoup d'entre vous, qui visitez ce site, m'ont déja fait part de leurs remarques. J'ai d'ailleurs été très surpris de constater que vous pouvez percevoir ce site de facon très différentes en fonction de vos sensibilités. Merci de ne pas hésiter a continuer de m'envoyer vos remarques et suggestions. Ce site est le votre. Amicalement. Humour Menfin Pour mieux comprendre les belges
Je ne suis pas l'auteur de ce texte... il m'a été communiqué par mail mais il vaut la peine d'être partagé. Pour mieux comprendre les belges. 1. Les indispensables septante et nonante. 70 = septante 90 = nonante C'est simple, clair et net... et grammaticalement plus correct que les ersatz du type quatre-vingt-dix ou soixante-quatorze... Ceci ne souffre aucune discussion. D'ailleurs, pour faire un parallelisme avec d'autres langues, en anglais, 70 se dit seventy et pas sixty-ten. Meme le neerlandais, qui se rapproche plus du klingon (cfr StarTrek), fonctionne de la meme facon: 90 = negentig. 2. L'accent L'accent, ou plutot les accents... car en Belgique, il y a autant d'accents que de villages. Vous n'etes pas oblige de prendre l'accent pour converser avec un Belge. Ce n'est pas un mongol et vous pouvez etre sur qu'il comprendra votre francais de Marseille, Strasbourg ou Laval. Quelques dialectes: * le lieeeeeechois (Liege) * le namuuuurois (Namur), proche de l'accent suisse du Valais * le tournaisieeeennn (Tournai), proche du Picard * Remarque: le brusseleir * L'accent bruxellois est le plus connu et le plus (mal) imite. Allllei,dis,fieu! Pour parfaitement l'imiter, Il faut se mettre dans la peau du personnage, cad avoir une grande gueule et faire son malin avec sa Rolex / son autoradio / son "G" (GSM = portable) achete a credit qui a coute 3 mois de salaire. En bref, il faut etre un gars de la capitale. D'ailleurs, n'oubliez pas le dicton: Parisien, tete de chien, Bruxellois, meme combat. * De plus, le vrai Bruxellois utilise 50% de mots francais et 50% de mots "flamands" ou flamandises juste pour faire bien. * Ex: Ah, fieu waar heb je de velo gelaisseerd? Ah, ja, in de camionnette. * Traduction: Eh bien, mec, ou as-tu laisse le velo ? Ah, oui, dans la camionnette. 3. Avoir une bonne prononciation Un bon conseil: bossez un serieux coup la-dessus. La seule facon d'apprendre, c'est d'ecouter! Quelques exemples: - Bruxelles, se prononce Brusselle (et pas Brukselle) - Anvers, se prononce Anverssss (et pas Anver, le "S" est la, alors il faut l'utiliser) - Le celebre W. En France, on prefere le prononcer comme un simple V. En Belgique, on preferera le prononcer " ouhe " Ex: wagon: ouhagon wei: ouhei - Les noms flamands : a apprendre au cas par cas. Mais, en tout cas: oubliez la prononciation francaise!!!! Ex: Maastricht: le ch ne se prononce par "ch", ni "k", mais dans un espece de rale comme si vous vouliez cracher. 4. Les specialites regionales Vous ne trouverez jamais d'endives en Belgique, mais des chicons. Vous ne mangez pas des sandwichs, mais des pistolets; pas de petits pains aux raisins, mais des couques aux raisins; pas de chaussons aux pommes, mais des gosettes. On dejeune le matin, on dine a midi et on soupe le soir. En Belgique, on "preste" des heures de travail ou un service. Et on aime aller a la kermesse (fete du village) manger des caricoles (des especes d'escargots). Et encore: En Belgique on tire son plan (se debrouiller),meme quand on ne sait pas de chemin (a court d'idees). On boit des pils (bieres) en demi (: 0.5 litres et non 0.25). On s'essuie les mains avec des essuies (serviettes), on attend famille quand on est enceinte (enfin les femmes en tout cas, les hommes c'est plus grave), et les portes s'ouvrent avec des clenches. Et "a tantot" signifie a tout a l'heure (et ne fait pas reference a un moment passe). On utilise les torchons (serpillieres) pour nettoyer par terre et non pour essuyer la vaisselle. Pour nous, un crayon est toujours en bois avec une mine en graphite. En effet, les "bics" sont des stylos a billes et un stylo, un porte-plume. Nous aussi, on sait qu'on est les meilleurs, mais nous, on prefere faire semblant que non pour que personne ne s'en doute... Et ce n'est pas des carabistouilles !!!! Humour grandeleche Patrick Timsit
Les féministes travaillent, picolent, conduisent comme des mecs et après elles s'étonnent qu'on les encule. Humour Menfin Des Français.
Un Français qui va pisser, il se lave les mains avant ou après? - PENDANT. Comment fait un Français pour se suicider ? - Il se tire une balle à 15 centimètres au-dessus de la tête en plein dans son complexe de supériorité Comment appelle-t-on quelqu'un qui parle trois langues ? - Un trilingue.. Comment appelle-t-on! quelqu'un qui parle deux langues ? - Un bilingue. Comment appelle-t-on quelqu'un qui ne parle qu'une langue ? - Un Français. Pourquoi les Français aiment-ils tant les histoires belges ? - Parce qu'elles les font rire trois fois : La première quand on les leur raconte, La deuxième quand on les leur explique, et la troisième quand ils les comprennent. Pourquoi les français ont-ils le dos qui pue ? - A force de péter plus haut que leur cul. Pourquoi en France, dit-on : "Aller aux toilettes", alors qu'en Belgique, on dit : "Aller à la toilette" ? - Parce qu'en France, il faut en faire plusieurs avant d'en trouver une propre. Après avoir créé la France, dieu trouva que c'était le plus beau pays du monde. Ca allait faire des jaloux. Alors, pour rétablir l'équilibre, il a créé les français. Pourquoi un français boit toujours la tasse quand il nage ? - Parce que même dans l'eau ils sont obligés d'ouvrir leur grande gueule. Vous savez comment on fait pour sauver un français de la noyade ? - Non, ben tant mieux. Journal intime. La tête sur les épaules Ta tête sur mon épaule
On est pas amants, A peine est-on amis. Te savoir triste me rend triste. Je voudrais te donner mes bras. Te donner mon épaule sur laquelle tu pourrais poser ta tête. Recueillire tes larmes sur mes doigts. Tes larmes seraient des perles pour moi. Mais parfois on peut être si mal… On peut être si aveuglé par sa tristesse … Qu’on ne vois plus rien, ni de beau, ni de bien. Même pas les bras tendus d’un ami. Parfois aussi la vie a été si cruelle Qu’on ne crois plus en rien. Que plus rien n’est gratuit. La tendresse c’est donner sans s’attendre à recevoir. C’est recevoir sans avoir à donner. Mon épaule est tendre, mes bras sont tendres. Et si demain, ta tristesse t’aveugle un peu moins. Ils seront toujours la, pour toi. Et demain et après demain, et encore et encore…… Humour Menfin Des brèves.
A la terrasse d'un café, un monsieur pris d'un besoin urgent, mais ayant peur de voir sa bière disparaître, écrit sur un petit papier qu'il pose devant son verre: "j'ai craché dedans."Quand il revient de la toilette, quelqu'un a rajouté : "Moi aussi !". Sortant d'une réunion avec Bill Clinton, Boris Eltsine se voit proposer par sa secrétaire, une petite gâterie. D'accord, dit-il, mais laissez la porte ouverte, sinon ils vont encore croire que je bois. Pourquoi Monika Lewinski donne-elle l'impression d'avoir grossi des joues? c'est parce qu'elle retient les preuves... Connaissez-vous le Viagra Light ? C'est juste pour une petite Bran..(censuré).. La différence entre excité et énervé ? Au début du mariage, les jeunes mariées sont très souvent excitantes, mais après quelques années elles deviennent vite énervantes. Un lord fait l'amour à sa lady. Le lord : "oh twès chèwe je vous ay fais mal?" La lady : "Non pouwquoi?" Le lord : "Vous avez bougé!" Pourquoi quand un belge raconte une histoire drôle à un français, doit-il la raconter lentement? Pour être sur d'être compris. Pourquoi en Belgique dit-on aller à la toilette et en France aux toilettes. Parce que en France il faut en visiter plusieurs pour en trouver une propre. Connaissez-vous la différence entre un pot de chambre et une bouteille de ploquette ? Non ? Alors Je ne viendrais jamais boire une Ploquette chez vous. Histoire vécue. Me trouvant à exposer mes bières lors du dernier salon Eurobière à Strasbourg, une Française passant devant mon stand fit le commentaire suivant : "Tiens, il font des bières en Belgique?" Deux grenouilles sur une grand route, l'une dit à l'autre : "Attention un rouleau con..Splash...(merci Marcel) Qu'est-ce que c'est un canife ? f'est un fien tiens! Réflexion d'un ami, en amour j'ai essayé quelques numéros. Pas encore le meilleur. De toutes façon si c'est comme au loto y devront me mettre un bon (numéro) dans le lot... (Marc) La grande histoire de Paf le chien (fien) . Le chien est sur la route, arrive une voiture, et paf le chien. Dialogue entendu à la radio : l'animateur à la candidate aux jeux : "Pour faire comme dans un autre jeu... combien vaut une serpillière en euro? -Ben euh je sais pas.. -et une pilule de Viagra en euro? -Ben euh 10 euro! -Ah je vois que vous connaissez mieux ça que les serpillières! - Oui ben, mais j'en ai pas besoin, j'ai déjà cinq enfants... l'animateur, ne se rendant pas compte de ce qu'il dit : -Ah oui, mais peut-être que votre mari lui en a besoin... Réflexion de François Walthery dessinateur de Natacha. Les belges sauront toujours très facilement ce que c'est un euro, c'est le prix d'une bière... Humour de coluche à propos d'un maton arrêté avec dix kg d'héroine : "Encore un pauvre travailleur qui va devoir dormir sur son lieu de travail..." Que se passe-il quand on donne du Viagra à un confetti ? Ca en fait un punaise. Le Viagra coûte très cher, notre ami bill, le premier cobaye, vient de payer 850.000 dollars pour faire oublier ses premiers essais.... Comment reconnait-on une secrétaire travaillant à la maison Blanche. Ce sont les seules qui ont des durillons sur les genoux.(merci Pierre-Yves) Pourquoi dit-on quand on est très fatigué qu'il faut mettre des bois d'alumettes pour tenir les paupières ouvertes ? Parce que avec un briquet, ça ne marche pas. Quel est le joueur de tennis préféré de bill? Pipes Santrasse. Comment surnomme-t-on la braguette de bill ? Le dow jones. quand elle baisse le dollars baisse quand elle remonte, le dollars suit. Si vous savez comment Bill parfume ses cigares, vous comprendrez pourquoi la secrétaire de notre premier ministre veut démissionner : lui préfère les cannettes.(merci Jean) Que fait une femme tous les matins pour son trou de cul ? Ben ses tartines pour aller travailler..(merci jean-pierre, dur la séparation hein..) Ma passion blues les voyages
Je suis grande, 175 cm, je suis chatain clair, les yeux noisettes, je recherche un homme grand, brun et mat de peau qui aime les voyages dans les iles, j'étais à la Réunion c'était top, génial, je voudrais aussi partir en turquie, tunisie, enfin voyager mais accompagner. J'aime la RNB, la groove, le rap, j'adore danser, mais dans des bars, ou les ambiances sont moins stressante. et vous???? Lisez moi ! souriretriste si je savais qui je suis....
Un chapitre de ma vie, je ne sais qui je suis ce que je veux, mais si vous savez me lire je vais essayer d'écrire des mots pour l'expliquer. Divorce, enfant et je ne me retrouve plus, je ne sais plus comment faire pour plaire à un homme, je ne sais plus comment aimer, je ne sais plus ou le positionner dans mon coeur. En fait, je ne veux plus me poser de questions, je ne veux plus etre soumise, je ne veux plus devoir donner des comptes, expliquez moi si tout ceci est normal, dites le moi avec des mots, merci Amour éternité extrait de vie
Ce jour, je me suis dit qu'il fallait que je dise à quelqu'un ce que je recherche. Je viens de trouver ce carnet que vous pourrez lire, c'est simple j'ai envie d'amour, amour avec un grand A. Un amour qui soit complice, simple et sans questions, j'ai vraiment envie d'aimer, simplement aimer. Les hommes ne savent plus aimer, ils ne savent plus faire la cour, celle qui nous embellit, qui nous rend unique, celle que nous attendons, des mots simples et des gestes simples.J'ai envie d'être la femme d'un homme, et avec lui, je partirai en week end, on s'éclatera sur une plage et on fera l'amour. Je serais la plus belle à ces yeux, nos regards en diront long, on se comprendra, il m'apprendra tout ce que j'ignore et je l'écouterai, amoureuse, je me délecterai de ces paroles, je l'aimerais, et vous qu'en pensez vous? Humour Menfin Des médecins
Mon père m'a toujours dit que parmi les cours que suivent les pharmaciens, un des plus importants est celui de déchiffrage graphologique. C'est ce cours (appelé à disparaître avec le généralisation de ordonnances rédigées par informatique) qui leur permettent de déchiffrer l'écriture des médecins. Je me suis toujours demandé ce que cachait cette manière d'écrire si difficilement déchiffrable. Est-ce pour garder une confidentialité entre médecin et pharmacien? Sorti du contexte médicale, cette manière d'écrire doit apporter des avantages et des inconvénients. Par exemple, lorsque un médecin écrit une lettre d'amour, cela permet-il à la personne qui la déchiffre d'y lire ce qu'elle espère y lire? Cela expliquerai le succès des medecins…. Que dire de ce médecin qui passe une commande à son épicier? Eau minérale se transforme en veau de Charal Papier W.C. en papier verré. Et celui qui se plaint que ses comptes ne sont jamais juste? Il devrais éviter de rédiger ses cheques lui-même! Et le médecin musicien dont le slow dont il a écrit la partition et le texte se transforme en rap style Doc gynéco? Un médecin qui fait de la peinture peut-il avoir un style autre que impressionniste? Et le conjoints de médecins? Je dis le conjoint et pas les conjointes parce que le masculin l'emporte sur le pluriel. Il y a de plus en plus de femme médecin. Et des jolies… Bénédicte si tu me regarde… ! Donc le conjoint doit-il être pharmacien pour déchiffrer les mots doux? Imaginez un médecin fauché obligé de travailler comme serveur! Quoi pas possible à imaginer? Un médecin fauché? Bon d'accord imaginez un serveur écrivant comme un médecin,et la tête des gens dont il a noté la commande quand ils reçoivent leurs plats! Et puis si cette manière d'écrire est innée, comment les profs cotent-ils les élèves? Sur leur prestance? Ah bon c comme ca qu'on devient médecin? Une belle gueule et une mauvaise écriture? Pas rassurant… Quoi ils ont inventés les examens oraux? Ahhh je préfère ca…! Amour Perdu en Alsace Les cieux bleus
Le ciel bleus de l'amour, ne nous sembleraient jamais si beau, si nous n'avions si souvent à en subir le ciel gris. L'amour nous plairais-il autant, si il ne découlais pas d'une souffrance vaincue. Une de mes amies dit souvent : " Si je peux facilement vivre seule, je ne pourrais jamais rester seule dans ma tête". Le moins que l'on puisse dire c que depuis 18 mois, je n'ai pas été seul dans ma tête. Depuis un an que c fini, c carrément un fantôme que hante mes esprits, jour et nuit. A peine ais-je trouvé un moyen de penser moins à elle, Namour, qu'elle resurgit, son ombre recommence à me tourmenter. Qu'aurais-je pu faire pour la garder? Est la question qui revient le plus souvent. Avais-je quelques choses à ne pas faire, étais-ce inéluctable, le destin? Le destin il en aura été question plus d'une fois , lui qui a provoqué notre rencontre. Journal intime. Perdu en Alsace Lettre à N'amour
N'amour, Ce matin il a neigé, pas assez, moi qui rêvais de voir l’alsace enneigée, de voir le soleil faire briller une neige scintillante… ce ne seras pas encore pour aujourd’hui, la neige fond déjà et le soleil ne brille pas vraiment… En un an je n’ai pas encore connu ce froid et cette neige dont on me dit souvent qu’ils sont caractéristique de la rudesse du climat d’hiver alsacien. J’aurais tort de m’en plaindre, pacque les pneus de ma voiture n’aurais pas vraiment apprécié de devoir s’agripper sur la neige. En toute situation, il y a toujours du positif a retirer. C’est ma philosophie, c’est le ressort qui me fait rebondir, et c’est dans cet esprit qu’il faut lire la suite de cette lettre. Un an. Cela fait déjà un an que je suis en alsace, et bientôt un an que je t’ai rencontrée. C’est l’heure des bilans. Si actuellement je me trouve mal dans mon boulot, c’est dégradant de voir les capacité que j’ai, et le peut d’utilités qu’elles ont, de voir aussi une société qui a énormément de potentiel gâcher ses chances a cause de tension familiales et de mauvaises organisation. C’est comme voire un chêne en train de tomber tout seul, sans pouvoir rien faire pour le soutenir, la seule solution étant de chercher vite un autre chêne à entretenir loin du premier afin de ne pas être écrasé dans sa chute imminente. De plus les tensions familiales dans une société, j’ai déjà vécu cela, et avoir l’impression de revivre la même histoire tout en connaissant le fin, cela m’est pénible. Malgré tout, en un an, je ne suis pas resté plus de 3 semaines sans travailler, et si je n’ai pas amélioré ma situation financière, je me suis endurci, j’ai appris à m’intégrer dans une région dont je commence a apprécier la mentalité difficile. Et si je suis venu en alsace sans savoir les difficulté qu’impliquais un tel déracinement, maintenant, en connaissance de cause, j’aurais la force de recommencer autre part. Cela se ferra peut-être, on ma parlé du Canada …. Affaire à suivre. Une année marquée par des rencontres et des amitiés qui se sont ébauchées… A.., que j’ai rencontré fin décembre, avec qui j’ai passé le réveillon de nouvel an, mais dont je me suis trouvé trop proche, trop vite, alors que j’ai encore besoin de liberté. C’est elle qui a souligné mes capacités et le gâchis que mon travail actuel en fait. J’aurais pu, j’aurais du mieux l’aider, mais trop préoccupé par mon travail et ma situation financière, je suis passé à côté de quelque chose d’important. J’avais la clé de son appartement, et je n’avais pas en ma possession la clef du mien que j’aurais que j’aurais pu lui confier en retour. E… que j’ai rencontré au marché de noël à Sélestat, aussi préoccupée que moi par le hasard des rencontres. C’est elle qui sachant que je serais seul pour le réveillon de noël a déposé devant ma porte un colis avec de quoi réveillonner, un cd et un nounours. Attention touchante, mais je ne pouvais et je ne peut lui donner autre chose que de l’amitié. M.. la petite belge qui étais en train de se séparer, que j’ai rencontré dans une soirée en compagnie de Dan, fin octobre. Un échange de regards, un malentendu, et j’en ai perdu l’amitié de mon pt’i loup. Elle qui n’avais jamais pris le train est venue me retrouver un w-e en Alsace. Et moi, qui n’avais plus les moyens d’avoir quelqu’un qui soit si loin, bonjour les notes de téléphone, et moi qui ne voulais pas une troisième fois être celui qui sert de transition, le tendre généreux qui rend confiance, celui que l’on oublie quand on va mieux. C.. rencontrée en septembre, trop sur la défensive que pour se laisser aller, avec qui j’ai passé deux week-end, et qui m’a fait rencontrer David, le breton perdu en Alsace. F… »La voisine d’Epfig« qui habite Paris. Rencontrée en Août, a qui je téléphone toujours régulièrement, que j’ai revu quand elle est venue passer noël en alsace. C’est à cette occasion que je me suis rendu compte qu’elle avais eu beaucoup plus que de l’amitié pour moi. Que les hommes sont naïfs parfois. Raphaël, le globe-trotter. Rencontré à la même époque qui étais toujours là quand je n’avais pas le moral. Il est reparti début janvier pour un de ses périples. Je suppose qu’il est en argentine actuellement. Zineb, dont l’amitié n’a cessé de croître au cours de cette année. Mais toutes ces rencontres si importante soient-elles, n’ont eu la qualité de la rencontre qui a vraiment marqué cette année. Toi. Si le ciel étais toujours bleu, on ne le remarquerai plus. Avoir des nuages de temps en temps, fait mieux apprécier une simple éclaircie. Parlons des nuages d’abord. Nuages noires. Je me fait de plus en plus à l’idée que l’amitié que tu m’a proposée un moment donné, la vie nous empêche de la construire. Quand j’ai constate que ca avais été mal avec ton fils et que je ne le savais même pas, je me suis senti inutile, Je n’ose jamais te téléphoner, de peur de mal tomber, de te mettre mal à l’aise vis a vis des personnes avec qui tu pourrais être à ce moment là. Tout en ne sachant pas ou tu en est de ce coté là, j’espère sincèrement que tu es heureuse en amour, et je ne voudrais jamais qu’un appel téléphonique de ma part te mette mal à l’aise. Comment pourrais tu me téléphoner pour passer boire un café chez moi, alors que depuis six mois tu n’a jamais osé prendre de mes nouvelles de peur qu’a ce moment je sois en face de quelqu’un qui te connaisse. Comment pourrais-tu m’inviter chez toi, alors que le mieux pour mettre tes enfants à l’aise le jour ou ils pourraient me croiser à la maison rouge, est qu’ils me voient le moins possible. Et puis peut-être as-tu besoin de m’oublier pour mieux vivre ton bonheur actuel. Tout en comprenant trop bien tout cela, je regrette le temps perdu a fonder un espoir dans cette amitié que les circonstances empêcheront encore longtemps. Nuages gris. Quelques réflexions qui m’ont fait mal et dont j’ai besoins de parler : « il ma écrit qu’il serait toujours la si j’avais besoins d’aide , c’est important ca et tu ne me l’a jamais dit ». Cette réflexion m’a fait mal, surtout en repensant au mois de juin, quand tu pensais être suivie. Je t’ai montré à cette époque, mieux que cela. La seule chose que je pouvais faire pour t’aider, c’étais de ne rien faire, ne pas être là près de toi, ne pas te serrer dans mes bras et te rassurer. Paradoxalement, c’est en résistant à l’envie que j’avais de venir te rejoindre, que j’ai montré que tu pouvais compter sur moi. Quand au plus fort de la tempête, tu m’as « rendu ma liberté » je n’en voulais pas, j’étais prêt à t’attendre. Autre réflexion quand tu doutais de la confiance que je pouvais avoir en toi. Aurais-je donné ma clef à quelqu’un dans ces circonstances ? Quand un jour tu m’a demandé si j’étais avec toi pour l’argent, j’ai été blessé que l’idée t’ai même effleuré. Ce sont quelques maigres amertumes, dont j’avais besoin de te faire part afin de les évacuer définitivement. Nuage gris clair. Un regret, certaines choses m’ont échappées….Je n’ai pas toujours vu que derrière ton sourire se cachait parfois des états de nervosité extrêmes. Une réflexion que je n’ai pas comprise : quand j’ai parlé de ton message d’amour sur la TV : « pourquoi n’en as-tu pas parlé plus tôt ? » Eclaircies : Si au mois de juin, je ne te connaissais pas, ayant perdu mon travail chez alcyne, je serais certainement rentré en Belgique. Mi août alors que je pressentait le fin de notre relation, j’ai réalisé que rentrer en Belgique aurais été la pire des choses à faire. Je serais retombé sous l’autorité de mon père et j’aurais régressé. Si notre relation ne devais avoir eu que ce seul résultat, c’étais déjà très important. Tu m’a fait comprendre indirectement pourquoi je me sentais mal à l’aise vis à vis de mes enfants, et si je n’ai pas encore totalement réglé le problème c’est déjà un pas très important. Soleil. J’ai pour la première fois de ma vie peut-être été sincèrement amoureux, pas cet amour qui naît de la frustration comme cela m’est souvent arrivé, plus une fille me repoussait et plus je m’accrochais. avec toi, je donnais et je recevais. J’ai eu et j’ai toujours énormément de respect pour toi. J’ai eu avec toi une qualité de relation que je n’ai jamais connu avant. J’ai pu te parler de moi sans crainte. Je t’ai écouté. Je me suis renforcé à ton contact. Grand soleil. Ton sourire partant de ton cœur passant par ta bouche et explosant en millions d’étincelles dans tes yeux. Avec toi j’ai fait l’amour….pour la première fois sans doute. Communion ; Quand plusieurs fois alors que logiquement tu n’aurais pas du me téléphoner, je sentais que tu allais le faire. Ce rêve prémonitoire que j’ai fait, je te perdais, je te voyais dans un domaine médiatique, dans mon rêve c’étais pour du boulot, mais tu y étais parce que Dom et Gautier t’avaient présenté des gens. Proximité avec la réalité étonnante. Moments intenses : Sur cette terrasse en Allemagne, une petite fleure dont j’ai gardé la trace longtemps. Quand tu t ‘endormais la tête dans le creux de mon épaule. Quand en juin alors que je ne pensais plus te voir avant longtemps tu es venue, je t’ai serré dans mes bras à t’écraser, j’ai failli en pleurer. Ce premier week-end tellement beau que je pensais que cela ne pouvais pas durer. Et ce n’étais qu’un début.. Relation vraie dont le prix a payer n’était rien en regard de l’intensité et de la richesse que j’en retiré. Certains vivent comme des mineurs, ne voyant jamais la lumière du jour, ne faisant pas la différence entre un ciel couvert et une éclaircie. J’ai beaucoup de chance, j’ai vu le soleil, et maintenant je sais qu’il existe, merci à toi, et je prépare la crème à bronzer pour être prêt le jour ou je le reverrai. J’envie ceux dont les circonstances te permettent de leurs donner ton amitié. Je serais toujours là pour t’écouter. J’envie celui qui te rends ou te rendras heureuse et j’espère que tu envies (un peut) celle qui me rendras heureux. Manala.